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L'étau se resserre sur Donald Trump, évincé des réseaux sociaux les uns après les autres: Twitter, son principal outil de communication, a suspendu son compte de façon permanente !
*"Jailhouse Rock", c'est d'abord le titre d'un film (en français, "Le Rock du bagne") réalisé par Richard Thorpe en 1957 et dans lequel Elvis Presley campe le rôle de Vince Everett, taulard condamné pour homicide involontaire.
*"Bambino" est à la base une ritournelle napolitaine de Marino Marini, sur une musique de Fanciulli, intitulée "Guaglione" et signifiant "gamin" dans la langue de Dante. "
Le myosotis, et puis la rose, Ce sont des fleurs qui dis'nt quèqu' chose ! Mais pour aimer les coqu'licots Et n'aimer qu'ça... faut être idiot ! T'as p't'êtr' raison ! seul'ment voilà : Quand j't'aurai dit, tu comprendras ! La premièr' fois que je l'ai vue, Elle dormait, à moitié nue Dans la lumière de l'été Au beau milieu d'un champ de blé. Et sous le corsag' blanc, Là où battait son coeur, Le soleil, gentiment, Faisait vivre une fleur : Comme un p'tit coqu'licot, mon âme ! Comme un p'tit coqu'licot. C'est très curieux comm' tes yeux brillent En te rapp'lant la jolie fille ! Ils brill'nt si fort qu'c'est un peu trop Pour expliquer... les coqu'licots ! T'as p't'êtr' raison ! seul'ment voilà Quand je l'ai prise dans mes bras, Elle m'a donné son beau sourire, Et puis après, sans rien nous dire, Dans la lumière de l'été On s'est aimé ! ... on s'est aimé ! Et j'ai tant appuyé Mes lèvres sur son coeur, Qu'à la plac' du baiser Y avait comm' une fleur : Comme un p'tit coqu'licot, mon âme ! Comme un p'tit coqu'licot. Ça n'est rien d'autr' qu'un'aventure Ta p'tit' histoire, et je te jure Qu'ell' ne mérit' pas un sanglot Ni cett' passion... des coqu'licots ! Attends la fin ! tu comprendras : Un autr' l'aimait qu'ell' n'aimait pas ! Et le lend'main, quand j'lai revue, Elle dormait, à moitié nue, Dans la lumière de l'été Au beau milieu du champ de blé. Mais, sur le corsag' blanc, Juste à la plac' du coeur, Y avait trois goutt's de sang Qui faisaient comm' un' fleur : Comm' un p'tit coqu'licot, mon âme ! Un tout p'tit coqu'licot.
Je t'ai rencontrée par hasard, Ici, ailleurs ou autre part, Il se peut que tu t'en souviennes. Sans se connaître on s'est aimés, Et même si ce n'est pas vrai, Il faut croire à l'histoire ancienne. Je t'ai donné ce que j'avais De quoi chanter, de quoi rêver. Et tu croyais en ma bohème, Mais si tu pensais à vingt ans Qu'on peut vivre de l'air du temps, Ton point de vue n'est plus le même.
Cette fameuse fin du mois Qui depuis qu'on est toi et moi, Nous revient sept fois par semaine Et nos soirées sans cinéma, Et mon succès qui ne vient pas, Et notre pitance incertaine. Tu vois je n'ai rien oublié Dans ce bilan triste à pleurer Qui constate notre faillite. " Il te reste encore de beaux jours Profites-en mon pauvre amour, Les belles années passent vite."
Et maintenant tu vas partir, Tous les deux nous allons vieillir Chacun pour soi, comme c'est triste. Tu peux remporter le phono, Moi je conserve le piano, Je continue ma vie d'artiste. Plus tard sans trop savoir pourquoi Un étranger, un maladroit, Lisant mon nom sur une affiche Te parlera de mes succès, Mais un peu triste toi qui sais " Tu lui diras que je m'en fiche... que je m'en fiche..."
L'amour, l'amour, l'amour Dont on parle toujours L'amour, c'est un printemps craintif Une lumière attendrie Ou souvent une ruine L'amour, l'amour, C'est le poivre du temps Une rafale de vent Une feuillée de lune
L'amour, l'amour, l'amour Dont on parle toujours L'amour met la nuit un bonnet Et le jour, porte un masque Qui veut que l'on grimace L'amour, l'amour, C'est parfois même aussi le visage d'un autre Qui n'est ni lui ni l'autre
L'amour, l'amour, l'amour Dont on parle toujours L'amour, l'amour, C'est plus d'une fois un panier vide au bras L'arc-en-ciel sur deux cœurs l'amour, l'amour, l'amour, c'est quand je t'aime L'amour, c'est quand tu m'aimes Sans me le dire Sans te le dire L'amour, l'amour, L'amour, c'est quand tu m'aimes L'amour, c'est quand je t'aime Sans te le dire Sans me le dire