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La légende du Colibri « Un jour, dit la légende, il y eut un immense incendie de forêt. Tous les animaux terrifiés et atterrés observaient, impuissants, le désastre. Seul le petit colibri s'active, allant chercher quelques gouttes d'eau dans son bec pour les jeter sur le feu. Au bout d'un moment, le tatou, agacé par ses agissements dérisoires, lui dit : « Colibri ! Tu n'es pas fou ? Tu crois que c'est avec ces gouttes d'eau que tu vas éteindre le feu ? » « Je le sais, répond le colibri, mais je fais ma part » . A méditer... [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
"Quand ils auront coupé le dernier arbre, pollué le dernier ruisseau, pêché le dernier poisson. Alors ils s’apercevront que l’argent ne se mange pas." Tatanka Yotanka – Sitting Bull, guerrier sioux
"Notre terre vaut mieux que de l’argent. Elle sera toujours là. Elle ne périra pas, même dans les flammes d’un feu. Aussi longtemps que le soleil brillera et que l’eau coulera, cette terre sera ici pour donner vie aux hommes et aux animaux. Nous ne pouvons vendre la vie des hommes et des animaux. C’est pourquoi nous ne pouvons vendre cette terre. Elle fut placée ici par le Grand Esprit et nous ne pouvons la vendre parce qu’elle ne nous appartient pas." Chef indien Blackfeet (Pieds-Noirs)
Quand je ne serai plus là, lâchez-moi ! Laissez-moi partir Car j'ai tellement de choses à faire et à voir ! Ne pleurez pas en pensant à moi ! Soyez reconnaissants pour les belles années Pendant lesquelles je vous ai donné mon amour ! Vous ne pouvez que deviner Le bonheur que vous m'avez apporté ! Je vous remercie pour l'amour que chacun m'a démontré !
Maintenant, il est temps pour moi de voyager seul. Pendant un court moment vous pouvez avoir de la peine. La confiance vous apportera réconfort et consolation. Nous ne serons séparés que pour quelques temps !
Laissez les souvenirs apaiser votre douleur ! Je ne suis pas loin et et la vie continue ! Si vous en avez besoin, appelez-moi et je viendrai ! Même si vous ne pouvez me voir ou me toucher, je sera là, Et si vous écoutez votre cœur, vous sentirez clairement La douceur de l'amour que j'apporterai !
Quand il sera temps pour vous de partir, Je serai là pour vous accueillir, Absent de mon corps, présent avec Dieu ! N'allez pas sur ma tombe pour pleurer !
Je ne suis pas là, je ne dors pas ! Je suis les mille vents qui soufflent, Je suis le scintillement des cristaux de neige, Je suis la lumière qui traverse les champs de blé, Je suis la douce pluie d'automne, Je suis l'éveil des oiseaux dans le calme du matin, Je suis l'étoile qui brille dans la nuit !
N'allez pas sur ma tombe pour pleurer Je ne suis pas là, je ne suis pas mort.
L’homme pense parfois qu’il a été élevé au rang de contrôleur, de souverain. Mais il ne l’est pas. Il est seulement partie du tout. La tâche de l’homme n’est pas d’exploiter mais bien de superviser, de servir. L’homme a la responsabilité, pas le pouvoir.
"Saviez-vous que les arbres parlent? Ils le font pourtant ! Ils se parlent entre eux et vous parleront si vous écoutez. L'ennui avec les Blancs, c'est qu'ils n'écoutent pas ! Ils n'ont jamais écouté les Indiens, aussi je suppose qu'ils n'écouteront pas non plus les autres voix de la nature. Pourtant, les arbres m'ont beaucoup appris: tantôt sur le temps, tantôt sur les animaux, tantôt sur le Grand Esprit."
Les Indiens ont dit : "Un jour, dans le futur, les animaux commenceront à disparaître. Les gens ne verront plus de loups, plus d'ours ni d'aigles. Les arbres géants disparaîtront eux aussi. Les gens se battront les uns contre les autres et ne s'aimeront plus. Le magnifique arc-en-ciel s'effacera peu à peu, et les gens n'en verront plus jamais dautres.
Et puis, les enfants viendront. Et ces enfants aimeront les animaux, et ils feront revenir les animaux. Ils aimeront les arbres, et feront revenir les arbres géants. Et ces enfants aimeront et aideront les autres gens à vivre dans la paix les uns avec les autres. Ces enfants aimeront l'arc-en-ciel, et le feront réapparaître dans le ciel. C'est pour cette raison que les Indiens ont appelé ces enfants « les guerriers de l'arc-en-ciel ».
Maintenant laissez-moi vous poser une question. Aimez-vous ou détestez-vous les animaux ? (Nous aimons les animaux). Aimez-vous ou détestez-vous les arbres ? (Nous aimons les arbres). Aimez-vous ou détestez-vous les gens ? (Nous aimons les gens). Aimez-vous ou détestez-vous l"arc-en-ciel ? (Nous aimons l'arc-en-ciel).
Bien, si vous aimez les animaux, les arbres, les gens et les arcs-en-ciel, alors vous êtes peut-être les guerriers de l'arc-en-ciel."
Le sage est comme un enfant Qui se tiendrait sur les hauteurs d’une montagne Et jouerait avec le soleil et les orages en riant Tous les pouvoirs lui sont donnés Il invente un nouveau langage, dialogue avec le vent Crée de nouveaux univers, parle avec ses rêves Mime le vol d’un oiseau ou la démarche burlesque de l’ours Il se moque de ses propres angoisses Il observe ses émotions, ses sensations Comme on observe les fleurs d’un jardin Il habite un nuage doré où la mort ne pénètre pas
"Un soir, un vieil indien cherokee raconte à son petit-fils l’histoire de la bataille intérieure qui existe chez les gens et lui dit :
"Mon fils, il y a une bataille entre deux loups à l’intérieur de nous tous.
L’un est le Mal : c’est la colère, l’envie, la jalousie, la tristesse, le regret, l’avidité, l’arrogance, la honte, le rejet, l’infériorité, le mensonge, la fierté, la supériorité et l’ego.
L’autre est le Bien : c’est la joie, la paix, l’amour, l’espoir, la sérénité, l’humilité, la gentillesse, la bienveillance, l’empathie, la générosité, la vérité, la compassion et la foi".
Le petit fils songea à cette histoire pendant un instant et demanda à son grand-père : lequel des deux loups gagne ?
Le vieux cherokee répondit simplement : celui que tu nourris".
Quand tu te lèves le matin, remercie pour la lumière du jour, pour ta vie et ta force. Remercie pour la nourriture et le bonheur de vivre. Si tu ne vois pas de raison de remercier, la faute repose en toi-même. (proverbe amérindien)
J’ai connu autrefois un monde merveilleux… La nature indomptable, que l’on refusait de dompter. Les nuages enchanteurs, que l’on voyait défiler aux cieux. Et le temps incertain, que l’on acceptait sans maugréer. J’ai connu autrefois un lieu merveilleux Où l’harmonie régnait dans un désordre orchestré par les Dieux, des Dieux de toutes sortes que l’on savait loyaux Et qui ne nous asservissaient pas d’impossibles idéaux
J’ai connu autrefois un lieu merveilleux… Les montagnes étaient hautes, si hautes… mais jamais infranchissables Les rivières charriaient dans leur lit notre réserve d’eau potable Et soulageaient nos pieds fatigués sur les sentiers rocailleux Elles étaient parfois profondes ces rivières qui jaillissaient En torrents sauvages et limpides, dans lesquels on ses désaltérait. Elles étaient profondes, si profondes… mais jamais on ne s’y noyait. Elles exprimaient leurs murmures fougueux, à nos oreilles qui les écoutaient
J’ai connu autrefois un lieu merveilleux Les oiseaux gazouillaient fièrement parmi les feuilles qui bruissaient Agitées par mille vents célestes qui nous rafraîchissaient Comme autant de soupirs divins qui nous rendaient heureux J’ai connu autrefois un lieu merveilleux Où le soleil réchauffait nos esprits et nos cœurs Nous rendant le sens de l’immensité de la richesse intérieure Nous éclairant sur les chemins parfois longs de nos jours heureux
J’ai connu autrefois un monde merveilleux Qui ne demandait rien, sauf notre respect, pour éviter son courroux, Qui ne demandait rien, à nous, qui donnions tout J’ai connu, autrefois… un monde… merveilleux… Un monde que vous n’avez pas compris… Un monde à jamais anéanti, détruit… Insensibles aux cris de douleur qui montaient de votre mère la Terre Quand, sans regret, elle fut massacrée, toute entière…
Et nous avec, et nous aussi… et moi aussi… Un homme, c’est si petit…
Il ne sert à rien de te fuir toi-même, en choisissant la vie désordonnée et bruyante du monde moderne. Ta douleur te cherche, comme le loup poursuit sa proie. Attends-la fermement, au centre de toi-même, entoure-toi de pensées rayonnantes, amuse-toi du monde comme l'enfant, et ta douleur fondra aussitôt comme neige au soleil.
Ma main n'a pas la même couleur que la tienne, mais si je la perce, j'aurai mal. Le sang qui en coulera sera de la même couleur que le tien. Nous sommes tous enfants du Grand Esprit.
«Que les étoiles emportent ta tristesse. Que les fleurs remplissent ton cœur de beauté. Que l’espérance essuie tes larmes pour toujours et, par-dessus tout, que le silence te fortifie. »
Nous devons respecter Et apprendre de toutes les choses qui nous entourent, Elles nous montrent que tous nous menons un combat. Le cerf, l’aigle et même la plus petite fourmi… Regardez les pendant un instant si vous ne me croyez pas. C’est pourquoi nous devons travailler ensemble Et vivre avec ce monde qui nous entoure, C’est pourquoi nous devons avoir du respect Pour toutes les choses et les êtres qui sont sacrés