Et c’est là que le piège se resserre sur le téléphile : maintenant que nous sommes accros à ces offres, les tarifs augmentent et les services diminuent.
Si le taux de pauvreté a fondu, passant de 29% de la population en 2000 à 10,7% en 2012, selon l'agence de statistiques russe Rosstat, il est remonté à 13,4% en 2016.