De scène en scène, de Une en Une, de show télé en show télé, il trimbale sa « gueule » et son look déroutant, racontant ici et là son histoire, ses bobos les plus banals comme les moins ordinaires, et puis aussi son jeune succès.
Cette lumière toute neuve, il l’aime, il en a longtemps rêvé. Enfant, dit-il lui-même, il aimait faire son intéressant et espérait coûte que coûte parvenir à se glisser sous les projecteurs.
En lui, Eddy de Pretto a quelque chose de dur, de très frontal, de cru.
Il couche sur le papier tous les sujets qui le débordent, toutes les histoires qui un jour l’ont marqué, dans une démarche artistique mais aussi thérapeutique –d’où le nom de son premier album, Cure, sorti en mars.