"Je suis foutue, maman" : avant le procès de proxénètes, une mère de famille raconte le cauchemar vécu par sa fille recrutée via les réseaux sociaux

Les 11 victimes sont, dans ce dossier jugé à partir de lundi à Paris, en majorité des adolescentes recrutées sur les réseaux sociaux, appâtées par l'argent puis rendues esclave d'un réseau animé par des hommes d'une vingtaine d'années.

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En 2016, Hawa* a 15 ans. La jolie adolescente coquette et fan de mode est une élève moyenne de seconde. Elle ne fait pas encore partie des 11 victimes - en majorité des adolescentes - de l'affaire de proxénétisme qui s'ouvre, lundi 25 juin, au tribunal correctionnel de Paris et pour laquelle 12 hommes, âgé de 17 à 30 ans, comparaissent. Sur le réseau social Instagram, elle commence à flirter avec un garçon plus âgé qui a repéré de jolies photos d'elles. "Elle était souvent sur internet, mais moi je ne surveillais pas. Je ne me suis pas inquiétée", explique Edwige, sa mère.

Très vite, elle change de vie

Oui les parents sont fautifs évidemment!! [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image] 

mais dur d'avoir une fille à notre époque! car elles sont mûres très tôt et certaines entraînées par d'autres plus âgées..

camélia a écrit:

Oui les parents sont fautifs évidemment!! [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image] 

mais dur d'avoir une fille à notre époque! car elles sont mûres très tôt et certaines entraînées par d'autres plus âgées..

et deviennent blête très vite

comme disent les jeune ;" les vielles de 25 ans "

Oui ils n'ont plus aucun respect pour les adultes!
On est déjà des has been pour eux! [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image] et ce très tôt, comme tu dis papacoz!

c'est beau les réseaux sociaux

Ca sera de pire en pire.
L'éducation est une catastrophe, autour de moi je vois (que ce soit enfants ou adolescents) parmi certains proches, ou c'est atroce leur comportement. Plus de respect, plus de limite, plus de barrière. 

Je veux, je veux, je veux, je veux sortir, je veux ce mec a la maison dans mon lit (je ne plaisante pas j'ai entendu ça), je veux ça, je veux pouvoir faire ce que je veux, faire ce tatouage, me faire un piercing, que tu m'achète ça...

C'est en grosse partie faute aux parents qui ne savent plus éduquer correctement et au système qui donne une image horrible de la femme et pousse à croire que tout sois permis sous l'étiquette de: la liberté.

En effet cela relève de l'éducation : des parents en tout premier lieu puis de l'Education nationale (éducation au numérique, infirmière et psychologue scolaire et programme de SVT, etc. mais les moyens sont dérisoires...).

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Coup d'