Nous savons tous que de nombreux commerçants souffrent cette année et attendent les soldes pour enfin écouler leurs stocks et retrouver un peu de trésorerie ! Est-ce que les consommateurs seront au rendez-vous ?
Ce mercredi marque le coup d’envoi de la présidence du 46e président des États-Unis. Joe Biden va prêter serment à 12h (heure locale) dans un contexte sanitaire et politique particulier
A 78 ans, Joe Biden devient ce mercredi le président des Etats-Unis, aux côtés de sa vice-présidente Kamala Harris, la première femme à accéder à ce poste.
Donald Trump a refusé d’assister à la cérémonie. Barack Obama, George W. Bush et Bill Clinton seront, eux, aux premières loges à Washington
Merci Pestoune et Bella , Merci pour avoir fait montre d'une telle sensibilité! [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
Paulo Coelho, Manuel du Guerrier de la Lumière.
Le sens de la répétition
« Un guerrier de la lumière constate que certains moments se répètent. Fréquemment, il se voit placé devant des problèmes et des situations auxquels il avait déjà été confronté. Alors il est déprimé. Il songe qu’il est incapable de progresser dans la vie, puisque les difficultés sont de retour. -je suis déjà passé par là, se plaint-il à son cœur. -il est vrai que tu as déjà vécu cela, répond son cœur, mais tu ne l’as jamais dépassé. Le guerrier comprend alors que la répétition des expériences a une unique finalité : lui enseigner ce qu’il n’a pas encore appris. »
Braves gens, prenez garde aux choses que vous dites ! Tout peut sortir d'un mot qu'en passant vous perdîtes. TOUT, la haine et le deuil ! Et ne m'objectez pas Que vos amis sont sûrs et que vous parlez bas. Ecoutez bien ceci :
Tête-à-tête, en pantoufle, Portes closes, chez vous, sans un témoin qui souffle, Vous dites à l'oreille du plus mystérieux De vos amis de coeur ou si vous aimez mieux, Vous murmurez tout seul, croyant presque vous taire, Dans le fond d'une cave à trente pieds sous terre, Un mot désagréable à quelque individu.
Ce MOT - que vous croyez que l'on n'a pas entendu, Que vous disiez si bas dans un lieu sourd et sombre - Court à peine lâché, part, bondit, sort de l'ombre; Tenez, il est dehors ! Il connaît son chemin, Il marche, il a deux pieds, un bâton à la main, De bons souliers ferrés, un passeport en règle ; Au besoin, il prendrait des ailes, comme l'aigle ! Il vous échappe, il fuit, rien ne l'arrêtera ; Il suit le quai, franchit la place, et cætera Passe l'eau sans bateau dans la saison des crues, Et va, tout à travers un dédale de rues, Droit chez le citoyen dont vous avez parlé. Il sait le numéro, l'étage ; il a la clé, Il monte l'escalier, ouvre la porte, passe, entre, arrive Et railleur, regardant l'homme en face dit : « Me voilà ! Je sors de la bouche d'un tel. » Et c'est fait. Vous avez un ennemi mortel.
Sacré Victor....c'est bien de lui ça....merci Bella..
Camelia....il n'y a que l'expérience pour apprendre certaines choses...c'est vrai....et comme il est dit...on n'apprend pas toujours du premier coup....
Ce sujet fait du bien. Quelle magnifique idée, Camélia. Nous avions eu de beaux échanges du genre avec Christophe Colomb. Je regrette ce membre qui avait une belle intelligence.
Le jour où je me suis aimé pour de vrai, j’ai compris qu’en toutes circonstances, J’étais à la bonne place, au bon moment. Et, alors, j’ai pu me relaxer. Aujourd’hui je sais que ça s’appelle…Estime de soi.Le jour où je me suis aimé pour de vrai, j’ai pu percevoir que mon anxiété et ma souffrance émotionnelle, n’était rien d’autre qu’un signal quand je vais contre mes convictions. Aujourd’hui je sais que ça s’appelle…Authenticité.Le jour où je me suis aimé pour de vrai, j’ai cessé de vouloir une vie différente et j’ai commencé à voir que tout ce qui m’arrive, contribue à ma croissance personnelle. Aujourd’hui, je sais que ça s’appelle…Maturité.
Le jour où je me suis aimé pour de vrai, j’ai commencé à percevoir l’abus dans le fait de forcer une situation, ou une personne, dans le seul but d’obtenir ce que je veux, sachant très bien que ni la personne ni moi-même ne sommes prêts et que ce n’est pas le moment… Aujourd’hui je sais que ça s’appelle…
Respect.
Le jour où je me suis aimé pour de vrai, j’ai commencé à me libérer de tout ce qui ne m’était pas salutaire … Personnes, situations, tout ce qui baissait mon énergie. Au début, ma raison appelait ça de l’égoïsme. Aujourd’hui, je sais que ça s’appelle…
Amour Propre.
Le jour où je me suis aimé pour de vrai, j’ai cessé d’avoir peur du temps libre et j’ai arrêté de faire de grands plans , j’ai abandonné les Méga-projets du futur. Aujourd’hui, je fais ce qui est correct, ce que j’aime, quand ça me plait et à mon rythme. Aujourd’hui, je sais que ça s’appelle…
Simplicité.
Le jour où je me suis aimé pour de vrai, j’ai cessé de chercher à toujours avoir raison, et me suis rendu compte de toutes les fois où je me suis trompé. Aujourd’hui j’ai découvert l’…
Humilité.
Le jour où je me suis aimé pour de vrai, j’ai cessé de revivre le passé et de me préoccuper de l’avenir. Aujourd’hui, je vis au présent, là où toute la vie se passe. Aujourd’hui, je vis une seule journée à la fois. Et ça s’appelle…
Plénitude.
Le jour où je me suis aimé pour de vrai, j’ai compris que ma tête pouvait me tromper et me décevoir. Mais si je la mets au service de mon coeur, elle devient un allié très précieux. Tout ceci est….
SAVOIR VIVRE !
“ Nous ne devons pas avoir peur de nous confronter…
Généticien, Albert Jacquard n’a jamais cessé de s’interroger sur le monde, sur l'humanité, son avenir. Sous la forme d’une lettre à un arrière-petit-enfant adolescent en 2025, il nous offre ici la synthèse de ses questionnements, de ses convictions, de ses craintes et de ses espoirs.
Huit milliards d’êtres humains parviendront-ils demain à cohabiter sur la planète ? Avec quelles conséquences : une consommation frénétique, des manipulations génétiques incontrôlées qui pourraient avoir des conséquences sans précédent et vite insurmontables sur l’environnement et sur le destin de l'homme ? Comment préserver à la fois la diversité et la paix ? Une soif inextinsible de connaissance, un respect de l'autre, une envie de partager, d'alerter, de transmettre... toutes ces valeurs font parti intrinsèquement de l'humaniste Albert Jacquart. Malgré tout, ce livre est à prendre comme une leçon d'espoir. Goût de connaître, respect de l’autre, nécessité de la critique et parfois de l’insoumission : telles sont les valeurs, ancrées dans sa vie et dans ses combats, que réaffirme ici Albert Jacquard, et qui font au bout du compte de ce livre une leçon d’optimisme et d’espoir.
Voici un extrait du livre :
2000
Tu découvres cette lettre le jour de mon centième anniversaire. Entre l'été 99 où je l'ai écrite et l'instant où tu la lis, plus d'un quart de siècle s'est écoulé. Tu vis un "aujourd'hui" qui est pour moi un inaccessible "demain". En lisant ces phrases, peut-être as-tu le désir de tisser un lien ténu avec cet homme lointain, dont ta famille t'a parlé, qui pour toi n'est même pas vieux puisqu'il a disparu, ton arrière-grand-père, moi.
Tout ce que je sais de toi est que tu es un de mes arrière-petits-enfants. Es-tu une fille, un garçon ? As-tu quinze ans, ou plus, ou moins ? Celui de tes parents qui te relie à moi est-il une de mes petites-filles, Sarah, ou Aurore, ou Chloé ou Marion, ou un des mes petits-fils, Julien, ou Béryl, ou Nathan ou Simon ? Je l'ignore. L'un deux a été le transmetteur d'une part de ce que la nature m'avait donné pour construire mon corps, et que j'avais moi-même transmis […]. Cette part de moi est, à vrai dire, bien faible : un huitième, car je ne suis que l'un de tes huit arrière-grands-parents. Peut-être même as-tu été adopté(e), ce qui réduit cette part à zéro, mais ne modifie en rien mon désir de parcourir à travers le temps, à trois générations de distance, le chemin qui me conduit à toi.
Ce chemin n'est pas déjà tracé, il est véritablement à construire ; les quelques milliers de gènes (tu le sais peut-être, la génétique a été le domaine scientifique sur lequel j'ai travaillé) qui en toi sont la copie des miens ne sont qu'un matériau dérisoire ; il me faut trouver d'autres parcours pour te rejoindre, m'agripper à d'autres prises pour m'approcher à portée de voix de toi.
Toi, un contemporain de mes après-demains,
Toi, qui es déjà sans doute obsédé par ton propre avenir,
Toi qui, en me lisant, sens ta vie palpiter, au rythme même où en moi elle palpite en cet instant où je t'écris,
Toi qui regardes un ciel semblable au mien, et pourtant différent, car le passage du temps a transformé tout ce qui emplit le cosmos,
Toi qui commences à imaginer la personne que tu deviendras,
Toi pour qui je ne suis même pas un souvenir, à peine un prénom parfois évoqué, un personnage flou sur de vieilles photos, pardonne-moi de sauter à pieds joints par-dessus ces vingt-cinq années, et de m'inviter pour quelques instants dans ta vie.
En la partageant je m'attribue, au-delà de ma mort, des instants que la nature m'a refusés. J'ai parcouru la plus grande partie du XXe siècle ; tu vas parcourir le XXIème. A toi de jouer, à moi d'essayer de t'éclairer. Permets-moi ce monologue qui me réinsère dans le flot des vivants.
[...]
En m'adressant à toi, je t'ai donné existence.
A l'instant où j'écris ces lignes, tu n'es pas. A l'instant où tu les lis, tu l'es ; tu deviens. A chaque phrase, je peux m'exprimer aussi bien au présent qu'au futur. […]
Mais qui es-tu ? Une fille, un garçon ; nous avons vu que cela n'avait guère d'importance. Au départ, j'ai imaginé que l'un de tes parents était l'un de mes petits-enfants, ces quatre garçons et quatre filles ont pour moi une telle présence ! Mais ce lien génétique est dérisoire. Je sais de toi l'essentiel : tu es de mon espèce. Et cela suffit à établir une connivence nous associant définitivement dans une même aventure, car l'espèce humaine est singulière.
Il est facile d'énumérer tout ce qu'elle a en commun avec tous les êtres dits vivants sur la Terre. […] Nous sommes l'une des branches, l'un des rameaux, parmi des millions d'autres, d'un arbre généalogique qui s'est différencié au cours de trois milliards et demi d'années.
Il se trouve que ce rameau se distingue de tous les autres. Pour le généticien, cette différence se résume à quelques mutations récentes. Intervenues au cours des quelques derniers millions d'années, une durée bien courte dans l'histoire de la planète, elles nous ont donné une complexité cérébrale qui nous a entraînés sur un chemin où aucune autre espèce n'a pu nous suivre. Ainsi un nuage poussé par un vent un peu plus fort passe seul au-delà du col et apporte la pluie sur un espace nouveau. […]
Les interrogations sur les évènements passés sont certes passionnantes mais l'important est le présent, car il nous permet de décider de l'avenir.
Longtemps nous nous sommes contentés, comme tous les animaux, de subir. Nous avons maintenant les moyens de choisir et d'agir. Un chant de triomphe ne serait pas déplacé devant les pouvoirs que nous nous sommes donnés. Sur tous les fronts nous venons de progresser, contre la maladie, contre la douleur, contre l'obligation du travail. Ce dernier siècle nous a apporté une extraordinaire moisson de possibilités dont nos ancêtres osaient à peine rêver.
Et pourtant que de guerre, de massacres, de misères, de désespoirs ! La cause de ce lamentable gâchis ne peut être trouvée ailleurs qu'en nous-mêmes. Quel est donc le ver dans le fruit ? Je me hasarde à te proposer une hypothèse. Ce ver qui pourrit tout ne serait-ce pas l'attitude que nous adoptons envers les autres ? Cette attitude est aujourd'hui (peu importe que ce soit dû à la nature ou à la culture) fondée sur la méfiance, la compétition, la lutte. L'évidence est pourtant que la coopération est seule féconde. Nous l'oublions car nous nous trompons sur la définition de nous-mêmes.
Lorsque nous disons "je", nous pensons à l'individu autonome, localisable, identifiable, unique, que nous sommes. Mais nous ne sommes pas que cela.
[…] "Je est les liens que je tisse." Avec cette définition, que je t'ai rappelée, la compétition, la lutte contre l'autre, apparaissent comme des comportements au mieux infantiles, au pire suicidaires.
C'est à ce niveau qu'il faut situer la révolution nécessaire : chaque membre de notre espèce est "plus que lui-même" par son appartenance au réseau des rencontres.
Ce réseau, depuis mon enfance, je l'ai tissé au présent en échangeant avec mes contemporains, au passé en lisant les livres ou en admirant les oeuvres de ceux qui m'ont précédé. Avec toi je l'ai tissé en me projetant vers l'avenir. Grâce à toi je peux prendre à mon compte l'orgueilleuse apostrophe : "Mort, où est ta victoire ?"
Merci Pestoune, Je l'ai lu
« Les vertus réelles excusent et plaignent ~ les fausses vertus accusent et déchirent » Paul Thiébault
Vous n’avez réclamé la gloire ni les larmes Ni l’orgue ni la prière aux agonisants Onze ans déjà que cela passe vite onze ans Vous vous étiez servis simplement de vos armes La mort n’éblouit pas les yeux des Partisans
Vous aviez vos portraits sur les murs de nos villes Noirs de barbe et de nuit hirsutes menaçants L’affiche qui semblait une tache de sang Parce qu’à prononcer vos noms sont difficiles Y cherchait un effet de peur sur les passants
Nul ne semblait vous voir français de préférence Les gens allaient sans yeux pour vous le jour durant Mais à l’heure du couvre-feu des doigts errants Avaient écrit sous vos photos MORTS POUR LA FRANCE Et les mornes matins en étaient différents
Tout avait la couleur uniforme du givre À la fin février pour vos derniers moments Et c’est alors que l’un de vous dit calmement Bonheur à tous Bonheur à ceux qui vont survivre Je meurs sans haine en moi pour le peuple allemand
Adieu la peine et le plaisir Adieu les roses Adieu la vie adieu la lumière et le vent Marie-toi sois heureuse et pense à moi souvent Toi qui vas demeurer dans la beauté des choses Quand tout sera fini plus tard en Erivan
Un grand soleil d’hiver éclaire la colline Que la nature est belle et que le cœur me fend La justice viendra sur nos pas triomphants Ma Mélinée ô mon amour mon orpheline Et je te dis de vivre et d’avoir un enfant
Ils étaient vingt et trois quand les fusils fleurirent Vingt et trois qui donnaient leur cœur avant le temps Vingt et trois étrangers et nos frères pourtant Vingt et trois amoureux de vivre à en mourir Vingt et trois qui criaient la France en s’abattant.
Louis Aragon
« Les vertus réelles excusent et plaignent ~ les fausses vertus accusent et déchirent » Paul Thiébault
Le jour où je me suis aimé pour de vrai, j’ai compris qu’en toutes circonstances, J’étais à la bonne place, au bon moment. Et, alors, j’ai pu me relaxer. Aujourd’hui je sais que ça s’appelle…Estime de soi.Le jour où je me suis aimé pour de vrai, j’ai pu percevoir que mon anxiété et ma souffrance émotionnelle, n’était rien d’autre qu’un signal quand je vais contre mes convictions. Aujourd’hui je sais que ça s’appelle…Authenticité.Le jour où je me suis aimé pour de vrai, j’ai cessé de vouloir une vie différente et j’ai commencé à voir que tout ce qui m’arrive, contribue à ma croissance personnelle. Aujourd’hui, je sais que ça s’appelle…Maturité.
Le jour où je me suis aimé pour de vrai, j’ai commencé à percevoir l’abus dans le fait de forcer une situation, ou une personne, dans le seul but d’obtenir ce que je veux, sachant très bien que ni la personne ni moi-même ne sommes prêts et que ce n’est pas le moment… Aujourd’hui je sais que ça s’appelle…
Respect.
Le jour où je me suis aimé pour de vrai, j’ai commencé à me libérer de tout ce qui ne m’était pas salutaire … Personnes, situations, tout ce qui baissait mon énergie. Au début, ma raison appelait ça de l’égoïsme. Aujourd’hui, je sais que ça s’appelle…
Amour Propre.
Le jour où je me suis aimé pour de vrai, j’ai cessé d’avoir peur du temps libre et j’ai arrêté de faire de grands plans , j’ai abandonné les Méga-projets du futur. Aujourd’hui, je fais ce qui est correct, ce que j’aime, quand ça me plait et à mon rythme. Aujourd’hui, je sais que ça s’appelle…
Simplicité.
Le jour où je me suis aimé pour de vrai, j’ai cessé de chercher à toujours avoir raison, et me suis rendu compte de toutes les fois où je me suis trompé. Aujourd’hui j’ai découvert l’…
Humilité.
Le jour où je me suis aimé pour de vrai, j’ai cessé de revivre le passé et de me préoccuper de l’avenir. Aujourd’hui, je vis au présent, là où toute la vie se passe. Aujourd’hui, je vis une seule journée à la fois. Et ça s’appelle…
Plénitude.
Le jour où je me suis aimé pour de vrai, j’ai compris que ma tête pouvait me tromper et me décevoir. Mais si je la mets au service de mon coeur, elle devient un allié très précieux. Tout ceci est….
SAVOIR VIVRE !
“ Nous ne devons pas avoir peur de nous confronter…
…Du chaos naissent les étoiles. ”
Charlie Chaplin.
Merci Pestoune, c'est magnifique, il n'y a rien a rajouter
Le jour où je me suis aimé pour de vrai, j’ai compris qu’en toutes circonstances, J’étais à la bonne place, au bon moment. Et, alors, j’ai pu me relaxer. Aujourd’hui je sais que ça s’appelle…Estime de soi.Le jour où je me suis aimé pour de vrai, j’ai pu percevoir que mon anxiété et ma souffrance émotionnelle, n’était rien d’autre qu’un signal quand je vais contre mes convictions. Aujourd’hui je sais que ça s’appelle…Authenticité.Le jour où je me suis aimé pour de vrai, j’ai cessé de vouloir une vie différente et j’ai commencé à voir que tout ce qui m’arrive, contribue à ma croissance personnelle. Aujourd’hui, je sais que ça s’appelle…Maturité.
Le jour où je me suis aimé pour de vrai, j’ai commencé à percevoir l’abus dans le fait de forcer une situation, ou une personne, dans le seul but d’obtenir ce que je veux, sachant très bien que ni la personne ni moi-même ne sommes prêts et que ce n’est pas le moment… Aujourd’hui je sais que ça s’appelle…
Respect.
Le jour où je me suis aimé pour de vrai, j’ai commencé à me libérer de tout ce qui ne m’était pas salutaire … Personnes, situations, tout ce qui baissait mon énergie. Au début, ma raison appelait ça de l’égoïsme. Aujourd’hui, je sais que ça s’appelle…
Amour Propre.
Le jour où je me suis aimé pour de vrai, j’ai cessé d’avoir peur du temps libre et j’ai arrêté de faire de grands plans , j’ai abandonné les Méga-projets du futur. Aujourd’hui, je fais ce qui est correct, ce que j’aime, quand ça me plait et à mon rythme. Aujourd’hui, je sais que ça s’appelle…
Simplicité.
Le jour où je me suis aimé pour de vrai, j’ai cessé de chercher à toujours avoir raison, et me suis rendu compte de toutes les fois où je me suis trompé. Aujourd’hui j’ai découvert l’…
Humilité.
Le jour où je me suis aimé pour de vrai, j’ai cessé de revivre le passé et de me préoccuper de l’avenir. Aujourd’hui, je vis au présent, là où toute la vie se passe. Aujourd’hui, je vis une seule journée à la fois. Et ça s’appelle…
Plénitude.
Le jour où je me suis aimé pour de vrai, j’ai compris que ma tête pouvait me tromper et me décevoir. Mais si je la mets au service de mon coeur, elle devient un allié très précieux. Tout ceci est….
SAVOIR VIVRE !
“ Nous ne devons pas avoir peur de nous confronter…
Ce sujet fait du bien. Quelle magnifique idée, Camélia. Nous avions eu de beaux échanges du genre avec Christophe Colomb. Je regrette ce membre qui avait une belle intelligence.
Oui, je me souviens de Christophe Colomb.. il est parti, je ne sais pourquoi..