FLASH - Le ministre de l’intérieur Christophe Castaner saisit la justice après que des messages privés entre policiers, au caractère [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien], aient été révélés au grand jour. (AFP)
“S’ils sont avérés, ces propos inacceptables sont de nature à porter gravement atteinte à l’honneur de la police et de la gendarmerie nationales, dont les hommes et les femmes sont engagés au quotidien pour protéger les Français, y compris contre le racisme et les discriminations. C’est pourquoi le ministre de l’Intérieur a décidé de saisir le procureur de la République”, Le HuffPost avec AFP
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] : ces paroles sont vraiment choquante j’espère que les sanctions seront à la hauteur cette fois
« Christophe Castaner continue de relayer une parole mensongère, selon laquelle il n’existe pas de violences policières »
FLASH: Christophe Castaner annonce l’abandon de la méthode d’interpellation dite « de l’étranglement » [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]: et c'est seulement maintenant qu'il se rend compte que c'est une méthode dangereuse et inadaptée?
Dans les rangs des forces de l'ordre, l'annonce a été accueillie avec un scepticisme généralisé.
"C'est surprenant qu'on la supprime alors que c'est la seule méthode qui permette d'interpeller quelqu'un qui se rebelle ou qui porte atteinte à l'intégrité physique des policiers", regrette à notre antenne Yvan Assioma, secrétaire régional Île-de-France du syndicat Alliance Police nationale. "On a pas d'autres moyens, c'est le seul moyen non-létal d'amener quelqu'un au sol."
"Elle est utilisée tout le temps", abonde Maître Liénard. "C'est une décision déconnectée des réalités de terrain. Sans ça, ils vont finir par arrêter les interpellations", présage le pénaliste.
Dans les rangs des forces de l'ordre, l'annonce a été accueillie avec un scepticisme généralisé.
"C'est surprenant qu'on la supprime alors que c'est la seule méthode qui permette d'interpeller quelqu'un qui se rebelle ou qui porte atteinte à l'intégrité physique des policiers", regrette à notre antenne Yvan Assioma, secrétaire régional Île-de-France du syndicat Alliance Police nationale. "On a pas d'autres moyens, c'est le seul moyen non-létal d'amener quelqu'un au sol."
"Elle est utilisée tout le temps", abonde Maître Liénard. "C'est une décision déconnectée des réalités de terrain. Sans ça, ils vont finir par arrêter les interpellations", présage le pénaliste.
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cricri29
Banni
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De la part de toute l'équipe de "Petite Feuille" nous vous remercions, vous tous, pour votre participation et votre soutien !
Je vous fais une confidence. Isolée. La cousine germaine de mon mari était Brigadier-Chef à la Police Municipale de Compiègne. Elle a demandé sa mutation et travaille maintenant dans une commune, disons à taille humaine. Elle était armée, possédait à ses dires une quinzaine de kilos sur elle, entre son arme à feu, sa matraque, son gilet pare balle, etc... Elle nous a dit qu'elle avait des problèmes de santé dû à cette charge lourde. Sa mutation elle l'a demandée car elle n'en pouvait plus, selon elle, de travailler dans des quartiers sensibles où ce n'est que le chat contre la souris : feux de poubelles à gogos, voitures incendiées gratuitement. Dès qu'une personne en uniforme est vue dans une cité, c'est le caillassage direct car il y a gêne dans le trafic de drogues. Pour autant, elle n'a jamais parlé d'insultes envers les habitants, que ce soit des jeunes ou moins jeunes. Interrogée sur le phénomène Facebook, elle s'insurge et nous dit que ce sont des gens qui n'ont que cela à faire, à savoir passer leur temps libre à entretenir une haine envers les citoyens, des citoyens qui ne sont qu'une minorité alors que d'autres souffrent des mauvaises actions de quelques protagonistes qui font la loi dans les cités. Selon elle, lorsque l'on travaille de nuit il faut aussi se reposer, penser à ses enfants, faire du sport. A 55 ans, elle nous dit d'être vidée par un travail qui l'a complètement pris à la gorge. Finir sa carrière dans les cités alors qu'elle avait commencé sa vie professionnelle par être contractuelle en cyclomoteur dans une autre ville n'était plus envisageable, elle a maintenant de l'arthrose aux dos. Elle regrette la tournure qu'ont pris les choses en 20 ans. Elle nous déclare que la France est en état de laisser aller car, toujours selon elle, les lois ne suivent pas les délits. Triste constat. J'ai de la peine pour elle lorsque je vois son état physique.
Abandonner une technique d'interpellation ... comme si ça allait changer quelque chose fondamentalement dans la mentalité de certains représentants de l'ordre . Une technique reste une technique , à charge pour celui qui l'applique de l'utiliser pour immobiliser ou pour blesser voire tuer .