Les élèves transgenres pourront bien utiliser leur nouveau prénom dans leurs établissements scolaires, et ce, sans changement à l’état civil. Le Conseil d’État a confirmé dans une décision rendue ce mercredi que la circulaire du 29 septembre 2021 du ministre de l’Éducation nationale qui prévoit cette possibilité pour les élèves était bien légale.
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très bonne chose... Mais est ce un prénom qui peut apparaître sur des papiers officiels ou pas ? et quelles démarches, car là c'est que dans le milieu des études et après avec l'état civil ???....
très bonne chose... Mais est ce un prénom qui peut apparaître sur des papiers officiels ou pas ? et quelles démarches, car là c'est que dans le milieu des études et après avec l'état civil ???....
Citation :
La question du changement de prénom d’abord. Si l’élève est mineur, lorsque la demande est faite avec l’accord des deux parents, « il s’agit alors de veiller à ce que le prénom choisi soit utilisé par l’ensemble des membres de la communauté éducative », indique le texte.
Ce « prénom d’usage » est substitué par l’établissement scolaire « de manière cohérente et simultanée, dans tous les documents qui relèvent de l’organisation interne (listes d’appel, carte de cantine, carte de bibliothèque, etc.) ainsi que dans les espaces numériques (ENT, etc.) ». En revanche, il ne sera pas pris en compte pour les épreuves de certains diplômes nationaux, où seul le prénom inscrit à l’état civil est valide. ici
Certes, le point de vue est intéressent, donc je me permets de demander quelles serait les sanctions à prononcer pour les "gamins" qui n'auraient pas les mêmes dispositions d'esprit que ce texte. Cruel, peut être un enfant, et cela ne peut qu'obligatoirement arriver. (a l'appel, le prénom "Isabelle" pour anciennement "Jean" ou inversement bien sûr)
Donc ???? Restons dans une réponse concrète et réelle, du fait que cette disposition a été prise au niveau et uniquement au niveau éducation nationale.
Ne mélangeons pas sociale et sociétale dans ce sujet purement scolaire
Certes, le point de vue est intéressent, donc je me permets de demander quelles serait les sanctions à prononcer pour les "gamins" qui n'auraient pas les mêmes dispositions d'esprit que ce texte. Cruel, peut être un enfant, et cela ne peut qu'obligatoirement arriver. (a l'appel, le prénom "Isabelle" pour anciennement "Jean" ou inversement bien sûr)
Donc ???? Restons dans une réponse concrète et réelle, du fait que cette disposition a été prise au niveau et uniquement au niveau éducation nationale.
Ne mélangeons pas sociale et sociétale dans ce sujet purement scolaire
Tu veux dire quelle sanction pour un gamin qui ne respecterait pas volontairement et répétitivement le prénom choisi par un autre enfant trans ? La réponse est simple : la même sanction que tout enfant qui se comporte de façon harcelante et malveillante à l'encontre d'un autre enfant, dans n'importe quelle situation.
Cela fait partie d'un grand chantier sur lequel l'éducation nationale devrait se pencher avec un peu plus d'attention : le harcèlement scolaire...
Certes, le point de vue est intéressent, donc je me permets de demander quelles serait les sanctions à prononcer pour les "gamins" qui n'auraient pas les mêmes dispositions d'esprit que ce texte. Cruel, peut être un enfant, et cela ne peut qu'obligatoirement arriver. (a l'appel, le prénom "Isabelle" pour anciennement "Jean" ou inversement bien sûr)
Donc ???? Restons dans une réponse concrète et réelle, du fait que cette disposition a été prise au niveau et uniquement au niveau éducation nationale.
Ne mélangeons pas sociale et sociétale dans ce sujet purement scolaire
Tu veux dire quelle sanction pour un gamin qui ne respecterait pas volontairement et répétitivement le prénom choisi par un autre enfant trans ? La réponse est simple : la même sanction que tout enfant qui se comporte de façon harcelante et malveillante à l'encontre d'un autre enfant, dans n'importe quelle situation.
Cela fait partie d'un grand chantier sur lequel l'éducation nationale devrait se pencher avec un peu plus d'attention : le harcèlement scolaire...
Voilà c'est exactement ou je voulais en venir Il n'y a rien, absolument rien de concret, tout au plus, des jours d'exclusions, et a mon avis l'absentéisme chronique viens probablement des mêmes trublions qui font le harcèlement. Très délicat chantier, du fait que ce ne sont que des enfants. (même les têtes brulées)
Il n'y a rien, absolument rien de concret, tout au plus, des jours d'exclusions, et a mon avis l'absentéisme chronique viens probablement des mêmes trublions qui font le harcèlement. Très délicat chantier, du fait que ce ne sont que des enfants. (même les têtes brulées)
Bah une loi, c'est jamais vraiment concret... ça donne une directive, une instruction, une autorisation ou une obligation, mais c'est sur le terrain que ça devient concret.
Celle ci donne une raison de moins pour harceler des enfants et jeunes qui sont déjà en difficulté par rapport à leur identité, on ne peut que l'approuver. Et si les micro-harceleurs tentent quand même, au moins l'équipe enseignante aura un texte légal sur lequel s'appuyer, si tant est qu'ils essayent.
Cette situation me parle pour plusieurs raison, tout d'abord car je connais un jeune garçon trans qui a été déscolarisé à cause du harcèlement du fait de sa transition, et ça a été très dur pour lui.
Il m'est aussi arrivé dans le cadre de mon travail de suivre un homme d'une trentaine d'année qui faisait sa transition, et de mettre son dossier administratif à jour en fonction. Mise à jour que j'ai dû refaire plusieurs fois car une de mes collègues qui ne voulait pas en entendre parler annulait toutes mes modifications dès que j'avais le dos tourné, par intolérance.
C'est une situation encore très difficilement acceptée, et c'est source de beaucoup de souffrances inutiles. Alors même si ce n'est pas grand chose, un texte de loi qui facilite un peu leur acceptation, et qui donne un cadre, je trouve que c'est déjà ça de pris.
Aujourd'hui à 21:35 par 
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