Deux écoles françaises en Turquie ont dû annoncer à des centaines de parents que leurs enfants ne feraient pas leur rentrée cette année. Une situation intenable pour ces familles.
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"J'ai rêvé de mille nouveaux chemins. Je me suis réveillée et j'ai repris le mien."
En Turquie, les écoles françaises Pierre-Loti et Charles-de-Gaulle, à Istanbul et Ankara, se retrouvent au milieu d'une crise diplomatique. Ces deux écoles présentent une fragilité, puisqu'elles n’ont pas d’existence légale reconnue en Turquie, qui utilise cette carte à satiété. En l’occurrence, Ankara exige l’ouverture de deux établissements d’enseignement de droit turc en France, la réciprocité en quelque sorte, fait-on valoir ici. Sauf que ces écoles suivraient le programme d’enseignement turc, de plus en plus religieux, au détriment des savoirs fondamentaux.
C'est compliqué cette histoire... Effectivement, je comprends cette demande de réciprocité : Est-ce que le gouvernement turc va mettre le nez dans ce qui est enseigné dans ces écoles françaises ? Sans doute pas.
Alors pourquoi ferait-on l'inverse ?
Mais en parallèle, on est face à l'avancée de l'idéologie religieuse sur notre territoire, ce qui est une donnée en plus. L'inverse ne se vérifie pas... Donc c'est délicat de se prononcer...