une étudiante en médecine se revolte contre les touchers vaginaux non consentis

Les pratiques médicales non consenties sont encore une fois sur la sellette.

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Comment un jour, un médecin m'a proposé de violer une vieille dame». Voilà, une manière explicite de raconter son expérience malheureuse sur le réseau social Twitter. Une étudiante en médecine, Elsa Dechézeaux, a répondu, vendredi dernier, à sa manière la tribune du gynécologue obstétricien à la retraite, Laurent Vercoustre, parue sur le site du Monde. Le médecin évoquait les maltraitances subies par les patientes ; pour le médecin, les femmes qui se plaignent d'avoir subi un toucher vaginal sans en donner leur consentement tenteraient de «piéger la médecine».

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sans en parler sans explications aux patients c est une violation

Je suis tout à fait d'accord avec la révolte de l'auteure de cet article. Ce n'est pas anodin et la moindre des choses devrait être de préparer la patiente, de la mettre à l'aise et surtout, de ne pas imposer.

Tu as la même  pensée  que moi

Même si se sujet ne me concerne pas je suis d'accord avec vous , normalement elles devrais donner leurs consentement...on peut dire que c'est un viol sinon

Pauline* a écrit:

Je suis tout à fait d'accord avec la révolte de l'auteure de cet article. Ce n'est pas anodin et la moindre des choses devrait être de préparer la patiente, de la mettre à l'aise et surtout, de ne pas imposer.

Absolument !

Attention à ne pas confondre cette révolte justifiée avec ce que la ministre de la santé appelait de la maltraitance à savoir l'épisiotomie.

Ici il s'agit d'un toucher vaginal sur une personne hors d'état de manifester un consentement ou non et ça c'est immoral et criminel.
C'est pareil lorsque le chef de service fait passer à tour de rôle des carabins pour qu'ils apprennent. Il est normal qu'ils pratiquent le toucher pour apprendre surtout dans le cadre d'un suivi de grossesse où ce n'est pas si simple qu'on peut imaginer. Mais un étudiant par patiente et pas un groupe.

Oui je vous rejoins il faudrait que le gynéco demande. Mon gynéco me dit avant "excusez moi " mais ce n'est pas suffisant ...

Parois je me dit que j'aurais du être gynécologue

Squale a écrit:

Parois je me dit que j'aurais du être gynécologue  

  oh le coquin

Léonore a écrit:

Oui je vous rejoins il faudrait que le gynéco demande. Mon gynéco me dit avant "excusez moi " mais ce n'est pas suffisant ...

Comment ce n'est pas suffisant et pourquoi doit-il s'excuser ? Y a un truc qui m'échappe, nous ne devons pas avoir la même compréhension du sujet.

Là on parle de toucher en douce ou de toucher en groupe. Mais quand on va chez son gynéco, c'est bien pour subir un examen intime et voir si tout va bien à ce niveau. Donc le toucher vaginal est essentiel. On a encore pas su faire autrement.

Une spéciale Squale qui a raté sa vocation

Ça se passe au cimetière, au moment de l'inhumation d'un célèbre cardiologue. De nombreux confrères sont présents. Pour la circonstance, l'entrée du caveau a été ornée d'un énorme coeur de deux mètres de haut, fait avec des fleurs, et le cercueil est placé devant.

Après le sermon et les adieux, le gigantesque coeur s'entrouvre, le cercueil est placé à l'intérieur et le coeur se referme.

Tout le monde est silencieux et très triste.

Soudain, l'une des personnes présentes se met éclater de rire.

Son voisin le réprimande d'un air sévère :

- Chut ! Mais qu'est-ce qui vous prend de rire comme ça ?

- J'imagine mon enterrement : je suis gynécologue !!

Je me demande comment les femmes musulmanes arrivent à accepter des examens comme ça...vous croyez qu'elles accepte facilement?

Pestoune a écrit:

Une spéciale Squale qui a raté sa vocation

Ça se passe au cimetière, au moment de l'inhumation d'un célèbre cardiologue. De nombreux confrères sont présents. Pour la circonstance, l'entrée du caveau a été ornée d'un énorme coeur de deux mètres de haut, fait avec des fleurs, et le cercueil est placé devant.

Après le sermon et les adieux, le gigantesque coeur s'entrouvre, le cercueil est placé à l'intérieur et le coeur se referme.

Tout le monde est silencieux et très triste.

Soudain, l'une des personnes présentes se met éclater de rire.

Son voisin le réprimande d'un air sévère :

- Chut ! Mais qu'est-ce qui vous prend de rire comme ça ?

- J'imagine mon enterrement : je suis gynécologue !!

Plié!!!!!!

Si la gynécologue est une femme ça se passe bien. La difficulté est lorsque c'est un homme. Je pense que là aussi ça dépend. Certaines l'acceptent, d'autres non. Tout dépend non pas de leur religion mais de leur éducation.

Oui aussi