Bon appétit ^^des rangées de rats des champs grillent .....

Bon , puisque moi j'ai le choix , je préfère un tournedos ..
Pour ces personnes qui gagnent quelques euros par jour j'imagine que c'est une aubaine
Le rat véhicule tellement d'idées négatives .. je ne suis pas vraiment prête à faire l''essai

smara a écrit:

Le rat véhicule tellement d'idées négatives

c'est ça le problème ! en temps de guerre les soldats voir même la population en manger ... donc ça doit être une viande comme les autres ... mais comme toi, comme j'ai le choix j'en mangerais pas !

Beurkkkk ... n'en mangerais pas !

Quelle horrrreur!!!
Jamais je ne pourrais manger çà.. 
j'avais entendu que  que dans certains restaurants chinois ils mettent du rat.. [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]

Pas en France Camélia, les contrôles sanitaires sont de plus en plus fréquents.

Cela ne me choque pas. En France dans les campagnes on mange parfois du ragondin. Le rat a toujours fait parti du menu des populations en temps de guerre et en lors des périodes de disette. La viande étant cuite, ça ne me poserait aucun problème.

Les escargots ou les grenouilles, c'est pas plus ragoûtant et pourtant ça fait parti de notre tradition culinaire.

en manger comme cela non aprés tout dépend si le degrés de famine est supérieur au degrés de raison

Il est vrai que ce n'est pas appétissant et que nous gardons une très mauvaise image du rat et de la peste dont il serait responsable ( c'est un autre sujet )

Je ne crois pas non plus que j'en mangerai, mais il ne faut jamais dire jamais, souvenons nous du crash dans les Andes ou les survivant après des jours et des jours de refus, se sont trouvés dans l'obligation et la situation extrême d'avoir recours au cannibalisme.

Dans certains pays, il est courant de se nourrir de grillons, sauterelles et de choses qui nous écœuraient bien d'avantage [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] est notre " spécialiste.

Pardon si j'ai fait un peu de hors sujet.

En photo oui mais pour la dégustation, je n'ai goûté que les grillons. Pas particulièrement goûteux. C'est l'assaisonnement qui fait tout. Par contre si on aime le croustillant, c'est au top

J'ai déjà gouté , grillons , sauterelles et vers , il y a un petits gout de noisette pas désagréable , faut juste pas regarder . Par contre , scorpions et araignées , j'ai pas pu .
Si j'avais faim , de cette famine qui tue , je serais moins regardante et je mangerais ce qui s'offre à moi , rat compris

le rat nous est arrivé d'Asie par les bateaux... prolifique, il faut essayer de les éradiquer... :en les mangeant (pour ceux qui aiment) c'est une solution.
C'est vrai, on mange escargots et cuisses de grenouille sans dégout... du ragondin en pâté ( très prisé autour de la rochelle)... Des populations mangent aussi les cochons d'Inde ...
alors pourquoi pas ? Une fois cuit, exit les bactéries... le rat mange de tout... même du fil électrique... lol
ça ne doit pas être mauvais.

On me donnerait un million d'euros, je n'en mangerais pas!

Sans le savoir j'ai mangé du chat ( une très mauvaise blague qui m'a été faite ... ), mais du rat ... non merci je ne suis pas tenté !

Moi non plus , je ne suis pas tentée mais moi j'ai d'autres choix . J'imagine que si le poulet ou le boeuf leur étaient financièrement accessible , ils ne mangeraient pas du rat .

Lorsque la famine est là et que la faim obnubile toute l'attention, plus rien ne compte que manger, manger n'importe quoi mais manger pour faire taire cette souffrance du corps, cette faiblesse qui saisit, cette douleur qui se presse. On ne réfléchit plus au bout d'un moment mais on mange, n'importe quoi, pourvu que ça remplit l'estomac et contrairement à ce que dit Camélia à ces moments là, on donnerait tout ce qu'on possède pour manger, pour survivre.

Dans nos sociétés de consommation où l'on peut acheter n'importe quoi, on oublie à quel point la nourriture est la survie. L'abondance fait taire la mémoire inné de l'instinct de survie mais en cas de nécessité, celle-ci survient toujours de façon brutale.

Pestoune a écrit:

Lorsque la famine est là et que la faim obnubile toute l'attention, plus rien ne compte que manger, manger n'importe quoi mais manger pour faire taire cette souffrance du corps, cette faiblesse qui saisit, cette douleur qui se presse.  On ne réfléchit plus au bout d'un moment mais on mange, n'importe quoi, pourvu que ça remplit l'estomac et contrairement à ce que dit Camélia à ces moments là, on donnerait tout ce qu'on possède pour manger, pour survivre.

Dans nos sociétés de consommation où l'on peut acheter n'importe quoi, on oublie à quel point la nourriture est la survie. L'abondance fait taire la mémoire inné de l'instinct de survie mais en cas de nécessité, celle-ci survient toujours de façon brutale.