La mairie de Paris obtient le retrait d’une campagne de pub pour le pamphlet transphobe « Transmania »

Comment une publicité ouvertement TRANSPHOBE peut-elle être accepté à Paris ?

@Anne_Hidalgo agissez ! LA HONTE sur notre ville et pays à l’aube des JO ….




« Paris n’est pas la vitrine de cette haine crasse. » Les mots forts du premier adjoint de la mairie de Paris Emmanuel Grégoire témoignent de la colère de plusieurs élus de la capitale en découvrant la campagne déployée dans la ville pour promouvoir un livre particulièrement controversé, Transmania. ️


[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] :  je suis profondément choquée par cette publicité pour le livre "Transmania". Il est inacceptable, en 2023, que des discours transphobes soient encore tolérés et diffusés dans l'espace public. Je comprends la colère de Kam Hugh et je soutiens pleinement sa démarche. Mais je suis également soulagée que la mairie de Paris ait réagi rapidement en demandant le retrait de cette publicité....

La mairie de Lyon ( écolo ) a également interdit la publicité pour un livre décrivant le phénomène " trans " . Ce livre s 'intitule " transmania".
Ci-dessous l' article de " Lyonmag ". Les commentaires des lecteurs sont à lire. Également, sous le lien, la présentation du livre.


Le lien :  [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]


La présentation du livre : 
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Bienvenue dans un monde où Robert devient Catherine


« Homme enceint », « non-binaire », « iel », « changer de sexe », « naître dans le mauvais corps », « transgenre », ces termes envahissent notre quotidien. Trans par-ci, trans par-là, partout c’est la transmania !


En France, il est possible d’être légalement reconnu comme femme tout en ayant un pénis. Des hommes se disant femmes remportent des compétitions sportives féminines dans le plus grand des calmes. Des hôpitaux se livrent à des expérimentations médicales sur des enfants dans le but de les faire « changer de sexe ». Et tout incrédule évoquant la binarité des sexes est traîné dans la boue.


C’est l’histoire de l’un des plus gros casses conceptuels du siècle que nous allons te raconter : l’idéologie transgenre est en train de s’infiltrer dans toutes les sphères de la société. Elle se présente comme un simple mouvement pour les droits d’une minorité opprimée, pourtant, derrière les paillettes, se trouve un projet politique néfaste qui s’apprête à bouleverser notre rapport au réel…


Dora Moutot est journaliste, auteure de À fleur de pet et de Mâle Baisées, et créatrice de communautés. Marguerite Stern est ex-Femen et réalisatrice de podcasts.
 
Après des années de travail, cibles de toutes les pressions, elles signent une enquête fouillée sur les dérives de l’idéologie transgenre.

On parle de la même chose [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] cette pub, c'est au sujet du livre !

Le problème traité dans le livre  " transmania "  est énoncé dans un article d' agoravox  dont je donne un extrait ci-dessous :


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Le transgenrisme peut se définir ainsi : adoption des signes caractéristiques de l'autre sexe suite à des manipulations lourdes : prises d'hormones, opérations. Mais on ne peut changer le genre des chromosomes, on ne changer que l'apparence, c'est une sorte de travestissement mais sans retour en arrière possible.


Les enfants et adolescents sont les principales cibles des tenants de ce mirage. Ces derniers sèment la confusion dans l'esprit d'enfants qui ont besoin de repères.


Les enfants entrent à peine dans la puberté qu'on les déstabilise avec des cas très particuliers. Lors de la période floue de l’adolescence on constate l'existence de fragilités psychologiques. Un adolescent qui se sent mal dans sa peau, c'est-à-dire la grande majorité, peut, influencé par la propagande ambiante, se demander s'il ne devrait pas changer de sexe. Dans neuf cas sur dix, ce sera une très mauvaise idée.


La protection de l’enfant et la préservation de son intégrité physique et psychique obligent à être très prudent. En effet, les traitements médicaux, à savoir les bloqueurs de puberté, les injections d’hormones du sexe revendiqué, les mastectomies ou les ablations des testicules, sont réalisées sur des corps sains avec des conséquences à long terme sur les enfants devenus adultes. "


source : [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]

Cela va concerner quel pourcentage d'individus, un tel débat ? Combien parmi nous pourraient-ils affirmer connaître autour d'eux ne serait-ce qu'une seule personne trans ?
Personnellement, j'ai rencontré des travestis... il y a trente ans de ça, lorsque j'habitais une ville balnéaire connue pour son festival cinématographique. Tous faisaient partie de la vie nocturne. Et une seule personne qui pouvait être envisagée comme une trans, ou non-binaire dirait-on aujourd'hui, qui travaillait non pas dans le monde de la nuit mais derrière un guichet postal.
Le web et les médias grossissent, selon un effet de loupe, un phénomène qui doit toucher moins de 2% de la population. Si ce n'était le cas, nous croiserions tellement de trans au jour le jour que nous n'y ferions même plus attention.    

Le fait d'interdire la publicité de ce bouquin ne fait qu'en accélérer les ventes. Selon ce que je comprends, il vise à prendre à rebours ce qu'on a voulu nous conditionner à envisager comme un phénomène d'ampleur à des fins idéologiques.
Dans les années 80, on a ôté des vitrines des librairies un bouquin intitulé "Suicide, mode d'emploi", non parce qu'il était question pour les supposés censeurs "de penser pour nous", mais parce que ce bouquin pouvait être pris au premier degré par des candidats au suicide, alors qu'il se permettait de traiter le suicide au second degré, mais que certaines recettes pouvaient effectivement appliquées par des personnes suicidaires.

paulau a écrit:

Le problème traité dans le livre  " transmania "  est énoncé dans un article d' agoravox  dont je donne un extrait ci-dessous :


"
Le transgenrisme peut se définir ainsi : adoption des signes caractéristiques de l'autre sexe suite à des manipulations lourdes : prises d'hormones, opérations. Mais on ne peut changer le genre des chromosomes, on ne changer que l'apparence, c'est une sorte de travestissement mais sans retour en arrière possible.


(...)

j'ai lu ton commentaire sur le livre "Transmania" et l'article d'Agoravox. Je comprends ton inquiétude concernant les enfants et les adolescents, qui sont effectivement vulnérables et en quête d'identité. Cependant, il est important de se rappeler que le questionnement sur son identité de genre n'est pas toujours le résultat d'une influence extérieure ou d'une confusion. Il s'agit souvent d'un processus intérieur profond et légitime....

Les traitements médicaux mentionnés sont effectivement lourds et irréversibles, d'où la nécessité d'une réflexion approfondie et d'un accompagnement professionnel... mais il ne faut pas oublier que ces traitements peuvent aussi apporter un soulagement immense à ceux qui les choisissent en toute connaissance de cause.... pour moi, il est essentiel de promouvoir une société inclusive qui respecte la diversité des identités de genre, plutôt que de stigmatiser ceux qui ne correspondent pas aux normes traditionnelles !!!

Il n'est pas question de stigmatiser mais sans vouloir rejeter et ne pas entendre ceux qui sont concernés, j'ai entendu des témoignages de parents de jeunes qui ont eu de graves problèmes à la puberté suite à des traitements spécifiques, donc prudence ! Il y a quand même de gros risques à retardement qui sont à prendre en compte, je pense du moins ...

La question que je me pose est celle de l'antériorité de ce phénomène - que soit dit en passant j'admets, accepte et ne critique absolument pas, même si j'en suppose l'extrême minorité des cas, la quête de soi empruntant tous les sentiers, y compris les plus abrupts - et ce qu'il en est du devenir de ces personnes transgenres après réassignation.
Pourquoi n'en parle-t-on que depuis relativement peu, en gros, quand est-on passé du travestissement autre que fétichiste, c'est à dire ne correspondant pas à une paraphilie mais à un désir de se vivre en tant que femme au travers d'attributs féminins pour un homme dont l'identité de genre est féminine -et l'inverse pour une femme ?
Dispose t-on à ce jour de stats quant au devenir, à l'intégration, à l'épanouissement en vie de couple de personnes réassignées, font-elles l'objet d'un suivi, existe t-il des études à ce sujet ?

Ouai...encore un truc polémique inutile...laissons vivre la sexualité des gens comme ils l'entendent

L' éditeur de Transmania répond aux censeurs :

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Ok. Je serais intéressé de savoir qui cet affichage a heurté, alors qu'il y a des sex-shops aux vitrines quand même explicites et qu'il y a eu longtemps des kiosques à journaux qui affichaient des couvertures de magazines de fesses -c'est peut-être encore le cas dans les villes où existent encore des kiosques à journaux.
Pour le reste, je rejoins [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] dans son commentaire : à chacun de vivre sa sexualité comme il l'entend. Ultra-minoritaire, le phénomène du transgendérisme est sans doute moins préoccupant que l'échangisme et le candaulisme imposés "en marche forcée" dans les backrooms de boîtes glauques par certains maris à leur épouse.
Je ne pense pas qu'il y ait beaucoup de parents qui aient envie de faire de leur petit garçon une petite fille, et vice-versa, et qu'au cas où cela se produirait, le corps médical suive.

Lydie a écrit:

LA HONTE

Comment une publicité ouvertement TRANSPHOBE peut-elle être accepté à Paris ?

@Anne_Hidalgo agissez ! LA HONTE sur notre ville et pays à l’aube des JO ….

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« Paris n’est pas la vitrine de cette haine crasse. » Les mots forts du premier adjoint de la mairie de Paris Emmanuel Grégoire témoignent de la colère de plusieurs élus de la capitale en découvrant la campagne déployée dans la ville pour promouvoir un livre particulièrement controversé, Transmania. ️

SOS Homophobie alerte sur une « explosion des violences transphobes »

[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] :  je suis profondément choquée par cette publicité pour le livre "Transmania". Il est inacceptable, en 2023, que des discours transphobes soient encore tolérés et diffusés dans l'espace public. Je comprends la colère de Kam Hugh et je soutiens pleinement sa démarche. Mais je suis également soulagée que la mairie de Paris ait réagi rapidement en demandant le retrait de cette publicité....

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Pour les lecteurs d' Amazon ce livre n' est pas transphobe.
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