Santé : une enquête sur les cigarettes électroniques est ouverte

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Avec un nombre croissant d’adeptes, la cigarette électronique a conquis plusieurs fumeurs qui l’utilisent à la place du tabac. Bonne ou mauvaise résolution pour lutter contre une dépendance ?



Des chiffres alarmants

Quel que soit le niveau de concentration de la nicotine, « les effets indésirables seraient tout aussi graves que ceux du tabac », prévient l’Agence Française de Sécurité sanitaire et des produits de la santé (Afssps).

Mais force est de constater que le nombre d’utilisateurs de cette e-cigarette en France atteint le demi-million ! Alors que depuis mai 2011, l’Afssps dénonce les dangers auxquels s’exposent les utilisateurs et conseille même de « ne pas en consommer ».

La ministère de la Santé ouvre une enquête

L’un des moyens susceptibles de freiner l’avancée de la cigarette électronique est d’exposer les risques encourus aux fumeurs. Pour comprendre l’évolution d’une telle demande, la Ministre de la Santé a demandé une enquête pour en savoir un peu plus sur « les caractéristiques du produit, ainsi que la catégorie dans laquelle il peut être classé. »

L’enquête portera également sur une « évaluation bénéfice-risque du produit » selon Marisol Touraine qui a mobilisé ses services pour cela.

Même si elle a l’air d’une vraie cigarette, à la seule différence qu’elle rejette de la vapeur d’eau à la place de la fumée, les fumeurs ne doivent pas ignorer les risques car elles contiennent toujours de la nicotine. Les médecins restent sceptiques sur l’abandon du tabac grâce à la cigarette électronique.
SOURCE: JTRADIN Par Madidine le 05/03/2013 à 15:08

il faut dire que ça ne rapporte rien à l'état
ce substitut nuirait à la santé du gouvernement

Lavande. Parce que, la vapeur d'eau est toujours moins nocive que la fumée d'une vrai cigarette.

Si il y a des effets nocifs, ce ne sera que pour le fumeur lui-même, et en moins grande quantité que le tabac.
Par contre se trouver près d'une personne fumant une cigarette électronique ne nuit pas à la santé de son entourage, et c'est ce que je retiens.

Les premiers résultats des tests commencent à sortir. Le premier est important : avec le vapotage, il n'y a pas de tabagisme passif :

La phrase importante de cette étude concerne la durée de “demi-vie” de la vapeur, une fois rejetée dans l'air par le vapoteur. 11 secondes serait le temps observé pour voir nos volutes s'évanouir à jamais. Un chiffre qui vient fortement contraster les 19 à 20 minutes nécessaires à la fumée d'une cigarette Gauloise pour disparaître à son tour.
Les chercheurs concluent que la cigarette électronique ne représente pas de risque réel de “tabagisme passif”.

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