"J'ai fait une erreur et je la reconnais volontiers", avait tweeté le journaliste, lundi matin. Il avait désigné, à tort, une zone de chantier comme... Il se dit menacé et insulté sur les réseaux sociaux. Un journaliste de BFM Paris qui avait diffusé une information erronée à l'antenne, dimanche, a porté plainte pour "menaces" et "harcèlements", mercredi 28 novembre, à Paris, a indiqué la chaîne à franceinfo, jeudi.
Voilà la vidéo de la [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] de [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] qui dit clairement que ces zones entièrement dépavées des [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] sont l'oeuvre totale des [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] alors que ce sont les zones de travaux de la piste cyclable. A RT [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
— Arnaud Santimaria ☨ (@santiarnaud) [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
]France Info Aujourd'hui à 13h28 -
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] : Il fallait bien que ça arrive un jour ! BFM et toutes ses chaîne veulent faire du Buzz avec la misère des gens avec de fausses informations .. ! .
Avec ces réseaux dits-sociaux, il faut qu'ils fassent attention a ce qu'ils disent sur leurs plateaux, l'ambiance est explosive en ce moment dans le pays et celà peut déraper ou s'envenimer a tout moment... Voilà a quoi mène l'incompréhension de nos dirigeants ..... qui avaient parié sur l'usure et le pourrissement du mouvement contestataire ... A suivre ...
malheureusement on a ce que l on a semé il a fait un buzz il en paye le prix fort dommage
Nan mais c'est exactement ça! Il a tenté le pari de faire le buzz, il a perdu. Point. Il évolue dans la sphère médiatique, il sait très bien comment ça fonctionne. Nul doute qu'il serait le premier à réagir de la même manière que celle qu'il reproche actuellement.
Je ne cautionne pas les attaques envers lui attention, mais il est du même niveau que ces attaques. S'il n'est pas content de celles-ci, qu'il commence par ne pas être content de lui au lieu de tomber dans la facilité de ces derniers temps : "je fais n'importe, je m'excuse et vous avez intérêt à accepter mes excuses sinon je porte plainte/je vous mets la misère sur les réseaux sociaux"
A noter que les politiques ont opté pour une version plus simple de cette méthode :" oui on fait n'importe quoi, mais on a le pouvoir et on assume. Maintenant vos gueu*es sinon on vous enfermer" ... Ah les joies des démocraties, des républiques, des libertés d'expressions, de la paix, c'est tellement mieux qu'avant...
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Bella01
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