"La proposition de loi, déjà votée en première lecture à l’Assemblée nationale, doit être examinée en mars au Sénat. « Les enjeux sont (…) majeurs. Ils touchent au respect même de l’État de droit » et du contrôle des autorités « par les citoyens, le Parlement, la justice et la presse », soulignent les associations, ajoutant que « les mesures de surveillance de la population doivent, elles, demeurer l’exception ». Elles exigent toujours le retrait de plusieurs dispositions, à commencer par l’article 24, qui pénalise la diffusion malveillante d’images des policiers.
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