Espagne : un foyer géant de Covid s'étend après des voyages d'étudiants aux Baléares

Des centaines d'étudiants reclus dans des hôtels aux Baléares, des parents en colère, des milliers de jeunes en quarantaine : un foyer géant de Covid-19 lié à des fêtes étudiantes à Majorque ne cesse d'enfler en Espagne, comme la polémique qui en découle (TV5)


[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] : on n’en a pas fini avec la covid qui va se propager pendant les vacances ...

c'est à la fête estudiantine de palma de majorque que çà s'est passé

ibiza n'est pas touché

Comme quoi la distanciation, les gestes barrières et les masques c'est pas du pipeau

On est parti pour un reconfinement en septembre /octobre si les gens se lachent cet été

Parce que oui tout est ouvert, mais cela n'empeche pas qu'il faut continuer avec les gestes barrière

IbelieveIcanfly a écrit:

Comme quoi la distanciation, les gestes barrières et les masques c'est pas du pipeau

la preuve sur BFM

Je suis d'accord avec vous, c'est certain que les gens vont se lâcher, et que la rentrée est incertaine.

Mais je ne vois pas trop comment empêcher les jeunes de faire un peu la fête cet été, il ont déjà tellement subit cette période pour leur vie sociale, pour leurs études, pour la mise en place de leur carrière, et pour toute l'organisation de la vie qu'il ont devant eux. C'est déjà une période de grande anxiété en temps normal, j'imagine l'angoisse d'un jeune qui a tout à faire, et qui est bloqué pour tout...

Donc je comprends qu'ils aient envie de faire la fête pour oublier tout ça.

On ne parle jamais des chiffres des suicides liés au covid, je crois que si un jour on a ces statistiques, ça sera impressionnant...

oui mais les jeunes devraient savoir

que en agissant ainsi ; ils sont entrain de tuer leur avenir

Je crois qu'ils ont plutôt l'impression qu'ils n'ont pas d'avenir, et donc pas grand chose à tuer...

Ou alors que l'avenir est tellement sombre que la seule chose qu'ils puissent faire, c'est de profiter du présent.

Et on ne fait pas grand chose pour leur démontrer le contraire.

Après à la TV les jeunes qu'ils interviewent c'est surtout "oui mais on est jeune, on risque rien niveau mortalité"

Sauf que tu es vecteur mon coco et que tu vas le transmettre à ta famille...

c'est à eux de le construire leur avenir

comme nous l'avons fait pour nous

papacoz a écrit:

c'est à eux de le construire leur avenir

comme nous l'avons fait pour nous

Oui, enfin, on n'a pas construit le notre en période de pandémie mondiale non plus, ni en période de désastre écologique dû aux erreurs des générations précédentes...

Un peu de solidarité générationnelle, c'est possible aussi... On ne peut pas demander aux jeunes de faire attention aux autres générations, si les autres génération n'en ont rien à faire des jeunes !

dans les années 68-70

c'était pas simple non plus

il fallait en vouloir pour se procurer un job intéressant

papacoz a écrit:

dans les années 68-70

c'était pas simple non plus

il fallait en vouloir pour se procurer un job intéressant

Quand on a eu la chance de naitre dans la période des 30 glorieuses, comme c'est mon cas et peut-être le tien, ça n'avait rien à voir.

C'était tellement facile par rapport à maintenant !

Quand j'avais 20 ans, j'ouvrais le journal du dimanche, je répondais à quelques annonces qui me plaisaient et je trouvais du boulot en 15 jours...

Maintenant même les jeunes diplômés rament pendant des mois, et les autres se font balader par l'interim pendant des années. C'est mon job de les accompagner, il n'y a vraiment aucune commune mesure.

C'est vrai qu'on avait moins de confort, mais on pouvait être insouciant et on l'était. Maintenant, c'est vraiment compliqué pour les jeunes d'être insouciant, comme ça devrait l'être à cet âge.

Je ne connais pas beaucoup de quadras ou quinquas qui auraient aimés naitre dans les années 90 ou 2000 !

Personnellement, je trouve que plutôt que critiquer les jeunes, on a un devoir envers eux, celui d'être présent pour eux et de leur faciliter la vision d 'avenir, plutôt que de leur dire de se débrouiller tout seuls. Parce que nous, on ne l'a justement pas fait dans les conditions où ils sont.
Et je constate que ça entraine immanquablement beaucoup plus de conscience dans les comportements de leur part, entre autre par rapport au covid.

tout a fait d'accord Vero, mais heureusement je connais plein d'adultes responsables qui font tout pour les aider, la période est differente des 30 glorieuses, ou on beneficiait de la reconstruction d'après guerre, avec le fric americain, et la mondialisation meme pas en cauchemar on ne l'imaginait

J'ai bientôt 50 ans (en 2023) et bin pour trouver du boulot c'était pas simplr sans diplome.

Retour au sujet :
Ces jeunes avaient un plaisir de faire la fête. On va pas encore oter ça de se retrouver après tous ces mois sans contact.

Majorelle a écrit:

Je suis d'accord avec vous, c'est certain que les gens vont se lâcher, et que la rentrée est incertaine.

Mais je ne vois pas trop comment empêcher les jeunes de faire un peu la fête cet été, il ont déjà tellement subit cette période pour leur vie sociale, pour leurs études, pour la mise en place de leur carrière, et pour toute l'organisation de la vie qu'il ont devant eux. C'est déjà une période de grande anxiété en temps normal, j'imagine l'angoisse d'un jeune qui a tout à faire, et qui est bloqué pour tout...

Donc je comprends qu'ils aient envie de faire la fête pour oublier tout ça.

On ne parle jamais des chiffres des suicides liés au covid, je crois que si un jour on a ces statistiques, ça sera impressionnant...

Je suis tout à fait d'accord avec toi Majorelle, les jeunes n'en peuvent plus de ces restrictions inhumaines, personnellement je ne crois même pas à leur protection, s'ils protégeaient vraiment les gens, il n'y aurait plus de cancers et les maladies cardio-vasculaires, les suicides (comme vous en parlez) tuent bien plus que ce Covid.
Grace à lui, ils maintiennent les gens dans la peur, pour mieux les faire obéïr.
Je comprends que les jeunes aient envie de se retrouver et de s'amuser, moi j'ai 58 ans et j'ai connu une jeunesse insouciante et heureuse, je les plains vraiment ces jeunes, ces enfants, cette génération sacrifiée.