Le suicide d’une octogénaire, qui refusait d’être séparée de l’homme dont elle était tombée amoureuse en Ehpad, soulève l’épineuse question de l’intimité dans les structures pour personnes âgées.
«J’aime comme je n’ai jamais aimé. En nous séparant, je ne sais pas si vous réalisez votre acte.» Dans la petite chambre d’une résidence pour seniors, à La Rochelle, Anne, 83 ans, s’est donné la mort en juillet. Près de son corps, plusieurs dizaines de lettres manuscrites, noircies d’une fine écriture, ont été retrouvées. L’octogénaire avait pris l’habitude de coucher ses pensées sur le papier. Pour se souvenir. Elle y a finalement expliqué son dernier geste, dicté par le «désespoir».(lefigaro)
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] : c'est une honte de vouloir séparer deux êtres qui s'aiment quelque soit leur âge !Nos personnes âgées en EHPAD ont besoin d’aimer pour se sentir vivants .. on en a la preuve avec ce récit ... il faut savoir que l'amour et le désir n'a pas d'âge ...
C'est beau deux personnes de cet âge là qui s'aiment comme deux adolescents.. la fin est bien triste en effet ... J'ai cru comprendre que la femme de 83 ans était dérangée psychologiquement, alors je peux comprendre aussi que la famille de son "amoureux" ait pu craindre pour la vie de leur père.. Bien compliqué tout çà...
waouhhh ! j'ai dû retirer mes lunettes [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] !! tu peux écrire moins gros et t'expliquer sur le pourquoi tu nous dis "Avez vous lu l'article dans sa totalité ?" !!
Dans l'article du Figaro , niveau "Remise en question" est écrit :
Anne «était devenue omniprésente dans sa vie. Jusqu’à le terroriser à la fin. Mon père a été dépassé et ne voulait plus de contact avec elle. J’ai même dû l’exfiltrer pendant un temps»
je vous laisse lire la suite ...
Pour moi , une idylle commencée , mais terminée que d'un coté . Qui est fautif , pas le personnel de l' EHPAD dans ce cas . Mais je suis d'accord avec vous , sur d'autres points , les EHPAD sont responsables . Trop de décès du Covid , peu ou pas d'empathie envers leurs clients , qui payent pourtant le prix fort en France . Une prison en quelque sorte