La patate chaude (jeu d écriture court )

Rappel du premier message :

Quel est cet étrange nouveau jeu
Commençons par le plus simple si vous permettez
La :patate:  chaude
Une version particulièrement sympathique défier autrui à écrire un texte avec deux mots imposés seulement
À chaque fois que vous êtes defié vous avez 24 h pour répondre et poser un texte avec les deux mots obligatoires…..
Et la fois suivante celui ayant posté donne deux mots en défi à une autre personne defié

But du jeu s amuser s enrichir mutuellement se taquiner que dire profiter d aimer les mots et dans faire quelques choses d interressant avec

Les faire vivre ces mots et nous faire vibrer en les lisant sans aucune autre prétention

Ex je défi Lydie avec chaise et étendard

[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] hi hi,vas y fais parler l’écureuil [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]

"défense, famille, truie"


Truie un mot peu employé d’où son ambiguïté,
Une insulte et voici ce mot transformé, et devenu éhonté.
Dans la famille Pardook, ce terme répété à l’infini, avait un sens bien particulier.
A la ferme des Pardook, vivait Sidonie la truie.
En cette fin mai,
Étaient nés de la Truie Sidonie, une portée de trois petits rejetons.
Tous aussi mignon que Sidonie.
La famille habitant en un lieu isolé,
Le père avait dressé Sidonie à l’attaque pour la défense de sa propriété.
Un soir, ou plutôt une nuit, la truie Sidonie, ayant détecté un bruit peu commun,
Ses cris plus que ses grognements réveillèrent les Pardook
Tous en alerte dans la cours non-éclairée, ils ne virent pas de suite Sidonie, une pile de bois, la masquant à la vue.
La lampe torche que le fils alla dépêcher, , leur permis de voir la scène. Sidonie, furieuse grattait au sol, de la terre giclait autour d’elle.
Elle tenait là à quelques pas, un loup en respect. Bien que pesante, et lourde de nature, elle fonça sur son adversaire, en poussant des cris stridents. Le loup battit assez rapidement en retraite, et prit la fuite dans la nuit.
Ses petits, Sidonie, avait cherchés à protéger,
Mais pas que : Si bien dressée qu'elle était, à l'attaque en toute circonstance. Le drame évité, la truie décida de rejoindre sa portée,  Toujours en veille pour le bien- être de ses propriétaires.  
Les animaux de la ferme, purent enfin « se reposer » en paix, ainsi que les Pardook.

J ai souvent prise La Défense de ma famille
J étais cette truie qui protégeait ses petits
Rien de plus rien de moins


Je défi qui Veut avec café automobiLe et chat

Un chat qui boit un café dans une automobile!!

Avez-vous déjà vu çà ?

Moi: NON

Et pourtant hier sur la place Vendôme, je l'ai vu de mes yeux vus...

Prochains mots: "algorithme, Symphonie, paresse"

La paresse est pour moi une chose que je comprends pas tellement habituée à courir et devancer les problèmes tél un algorithme
Ma vie ne fut pas une symphonie mais plutôt une cacophonie où tout allait à mille à l heure
Heureusement depuis peu j apprend à m écouter il était temps
Je vais à un rythme plus doux plus harmonieux
Tout est question de tempo

Je défi qui veut avec chant course et chenapan

chant course chenapan

Dans une vie, si longue fut-elle, qui n’a pas connu une fois, une seule, un petit chenapan.
Julien « dit Julius pour la famille », espiègle enfant, avait pour fâcheuse habitude, de se rendre aux marchés dominicaux, et d’y chaparder un jouet ancien pour sa collection. Rares à la vente, étaient ces objets.
Ce jour-là, Julius se trouva chanceux. Deux étales disposaient des trésors convoités.
Il décida de rejoindre le stand par l’arrière. Pas à pas il avança vers le marchand.
Devant lui, s’étalaient de petites voitures miniatures.  Il en demanda le prix.
Il savait pourtant ne pas avoir un sou pour acheter l’une de ses merveilles.
Son manège, ses astuces, prendre l’objet convoité, sitôt le vendeur occupé.
Un groupe d’hirondelle frôla le stand et s’envola dans un chant mélodieux.
Julius y vit là comme un signe.
Aussi rapide qu’un oiseau en vol, il déroba deux miniatures et se sauva dans une course effrénée.
Seul le vendeur l’avait vu. Occupé à garder son étal, il le laissa fuir avec son « butin ».

Prochains mots " Nuance - - Départemental - Actif

Qui pourrait me donner la nuance entre Conseil Départemental et Conseil Régional ? Ok ces 2 administrations grouillent d'actifs, qui cogitent et courent dans tous les sens, mais encore

Les mots : solitaire - poésie - réalité

Dans la réalité, je suis une solitaire, je fuis le monde , je préfère me retrouver seule avec moi-même mais parfois quelque animation me manque et je me prends un bain de foule dans une ville mais le désir de tranquillité me rattrape et je rentre vite me terrer afin de rêver et de me plonger dans un livre de poésie qui me transportera dans le pays des rêves et de l'imaginaire..

Prochains mots: "Appréhension, fainéant, corde au cou"

Non qu'il était fainéant Hubert, mais il ne savait pas comment s'y prendre pour poursuivre son travail de maçon, depuis que le collègue lui avait écrasé le pied avec un seau de mortier, à la suite de quoi il avait eu un mois d'arrêt de travail! L'appréhension l'empêchait de vraiment être efficace dans sa tâche, il n'avait pas vraiment la corde au cou, mais vu ce qu'il avait souffert il n'était vraiment pas fier pour la reprise ... allez Hubert, courage

Deux mots : Panique/Pantin/Perturber

C'est la panique à bord...Le Capitaine ne sait plus où donner de la tête en voyant le filet revenir avec cet énorme poisson à tête d'humain! Les marins courent dans tous les sens sur le pont envahi par les fortes vagues..
On dirait des pantins s'agitant vainement.. 
Le Capitaine, dépité et ne sachant plus comment intervenir  s'époumone en donnant des ordres qui s'évaporent dans l'air .. 
Cet énorme poisson à tête d'homme gigote et ouvre la gueule comme pour appeler à l'aide...Seul un petit matelot  d'à peine 12 ans, se penche vers lui et tend l'oreille afin de percevoir un son..
Il se retourne très perturbé et dit au Capitaine: "il m'a dit de l'euthanasier"! [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image] 

autres mots : "Randonnée, Dépassement, Corset"

Il me semble que j ai toujours aimé marcher depuis toute petite.
Partir en randonnée est un vrai privilège actuellement j en ai le temps .
Heureusement qu on est plus au siècle dernier ou marcher avec un corset était une torture.
Ce dépassement de soi est agréable et bénéfique pour le corps et l esprit
Je vais pas tarder à partir ce matin avec ma sœur histoire de prendre du recul sur des événements récents
Aller par mont et vallée sera un pur bonheur


Je défie qui veut avec vent mer etchance

Quelle chance d'habiter près de la mer ! En s'y baladant, on respire à plein poumon l'air iodé, les mouettes avec leur cri perçant, virevoltent à ras des vagues avant d'aller se poser sur le sable à la recherche de pitance. Le décor change en fonction des heures, des jours .... Tantôt mer d'huile, sans bruit elle vient mourir sur le rivage, tantôt déchainée avec le vent qui souffle en rafales, surtout lors des grandes marées, et alors un spectacle grandiose se forme devant vos yeux, mais prudence il peut vous surprendre !

Mots : Pâquerette/Ombrelle/ Délice

Annonce d’un printemps tant espéré,  
Un réel délice, l’éclosion des premières pâquerettes.
De leurs boutons, s’ouvrent une petite fleur qui parsèment et agrémentent,
Les près, les talus. Les parcs en multitude.
Dans les parcs, elles percent à l’abri des grands arbres,
Comme en une ombrelle, les protégeant de pluie et soleil.
À leurs pieds, leurs coroles éparses forment une jolie couronne.
Puis, l’Homme, pourtant , oh combien  impatient de voir éclore  les fleurs printanières,
L’Homme, sans attendre, à l’aide de  machines aux dents acérées.
Ne tarde pas à détruire tant de beauté naturelle.

Souterrain / Capitaine / Mère

Merci d'avoir réveillé ce jeu d'écriture [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]

Il faut proposer 3 mots pour la suite très chère [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]

À l'initiative de Opale,
Oui Denis, très bon topic.
- Quant aux trois mots, essentiels.
Ils y sont oui oui.

[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] Ooops j'avais pas vu, l'age fait des ravages [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]

Souterrain, capitaine, mère...

La brume se levait en ce matin d'automne. Le silence régnait sur la plaine. Doucement Martin souleva la bâche qui le recouvrait. Il s'était cantonné à quelques mêtres du souterrain creusé par les garennes. Delà il pouvait observer la mère et ses petits. Des semaines à attendre cette ultime photo de cette Oie Flamande. Cette oie si rare avec son plumage d'un blanc immaculée, à sa tête et ailes d'un gris profond sortait tel un capitaine au port altier entrainant à sa suite son petit bataillon d'oisans. Clic, Clic, juste à temps, Martin tenait son scoop animalier. Une attente couronnée de ce beau spectable,l'envolée de ces oies sauvages !

3 mots nouveaux à suivre pour qui veut ...
Dragées, douleurs, parapluie

Cunégonde, pliée en deux à cause de son arthrose, se précipitait sous la pluie , tenant son sac en skaï d'un côté et son parapluie du Bon marché de l'autre.. Elle essayait de se faufiler entre les passants qui se hâtaient de rentrer chez eux pour savourer  la chaleur d'un chez soi..
Cunégonde n'avait pas oublié sa dernière arrière petite fille dont on allait célébrer le baptême dans peu de jours et c'est pourquoi elle trottinait à petits pas serrés, oubliant ses douleurs,  vers cette jolie vitrine où prônaient de merveilleuses dragées de couleurs chatoyantes..Un petit sachet d'amandes roses pour sa petite Adélaïde née il y a quelque mois
Voilà tout ce qui la motivait ce jour sous la pluie ..

autres mots: " Cure-dent, Journal, Patatras"

Un cure-dent, utile direz-vous, pour qui s’en sert souvent,
Faut-il encore savoir « s’occuper de ses dents, avec un tel instrument ».
Toute personne mal éduquée,
L’utilisera  en société, sans se soucier d’être épiée.
Un média relata  l’histoire d’un homme,
Qui fut un jour l’invité d’une grande attablée.
Le repas terminé, il se rendit au salon, y trouva là un journal,
Il prit une chaise, et débuta sa lecture tout en se curant les dents.
Un des invités l’avait vu.
Excédé, tout en bousculant l'Homme, il arracha le journal de ses mains.
Et patatras, l’homme en tomba de sa chaise.
Dans la brutalité du geste, le cure - dent lui déchira le palais.
Bien se tenir à table, n’est pas un vain mot, méfions-nous de convives,
Qui peuvent faire payer toute impolitesse.

Tribunal - Dune du Pilat - Parapente

[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]  [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] toujours super de vous lire et en plus vous faites de merveilleux progrès, un régal

[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] Bienvenue et bravo pour avoir su allier poésie et humour avec un simple cure-dent, un véritable exploit  [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]  [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]

Vraiment ce jeu d'écriture c'est une pâtisserie, une confiserie spirituelle. Surtout continuons car ça n'est que du bonheur partagé: celui d'écrire et celui de lire ! un double bonheur  [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
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Tribunal - Dune du Pilat - Parapente
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Relance avec : Uchronie, Dystopie et Utopie  [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image] Bonne chance  

Merci [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien].. c'est rudement gentil de nous encourager ainsi..

On aime , alors on continue.. et on a un bon exemple avec tes écrits toujours aussi surprenants et nous laissant rêver.. [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]

Bon si ces mots vous inspirent pas

Printemps, pollen et hibernatin :-]

Denis a écrit:

Printemps, pollen et hibernatin :-]

Je suppose qu'il est question "d'hibernation"... ? (j'ai cherché hibernatin car je pensais que c'était un mot que je ne connaissais pas mais j'ai rien trouvé... )





Quelques bruits me parviennent aux oreilles... on dirait du vent dans les arbres...
Pourtant, je suis bien, je n'ai pas envie de bouger... Encore profiter un peu de cette douce torpeur.

Un léger courant d'air vient me caresser la truffe. Ca sent le printemps.

Ca y est, il est là avec ses pousses verdoyantes, ses fleurs colorées et son pollen dans l'air !

Il me rappelle que j'ai l'estomac vide... J'ai faim ! J'ai même grand faim !


C'est le moment pour moi de sortir d'hibernation et de reprendre ma vie de marmotte d'alpage, qui court après les papillons, grignote les bourgeons et cherche les baies sucrées.

La belle saison me tends les bras !



Trois mots : balle, clou et liquide

Merci Denis.... C'est un vrai plaisir de lire et d'écrire ces petites contines...

Merci Denis , pour tous ces encouragements,
qui vont droit au cœur.

Se lever à l’aube,
A travers le voile d’une fenêtre, découvrir un décors digne d’un peintre,
Entre soleil est pluie, d’après les caprices du temps.
Il pleut, comme une larme, un liquide transparent embue la vitre.
Attirer par l’aurore, Enfiler un imper, chausser des bottines, et partir,
Prendre un sentier, puis un autre, et encore, et encore.
Fuir la monotonie, à l’abri des regards fuir, vers un devenir meilleur.
Avancer lentement, humer la mousse aux pieds des grands arbres,
Il faut bien rêver , alors rêvons.
Au loin, une clairière, et une cabane,
Suivre le petit sentier sinueux qui y donnent accès.
Se délecter par avance, de ce repos, dans ce lieu abrité.
De cette cabane, ouvrir délicatement la porte,
Une seule pièce, avec un recoin, Une petite table,
Au fond un banc, s’y allonger doucement,
Ces pieds bougent un peu, la fatigue aidant, le sommeil ne tardera pas.
Amplifier par la clairière, Un bruit à répétition
Aux aguets, à travers la vitre, se connecter avec l’extérieur,
A grandes enjambées une silhouette disparait.
Qui est-il, où est-il, à travers bois, la silhouette s’est évaporée.
Sortir, approcher de l’étang. Deux balles encore fumantes gisent là.
Le clou de l’histoire / Prendre le chemin le plus court. Revenir sur ses pas.
Rentrer au plus vite, ouvrir la porte du logis, s’engouffrer dans le salon, et
Se blottir en larmes dans le sofa, en se jurant de ne plus sortir seul de bon matin.

Saïgon / Navire / Métier

Oh super ! c'était pas si facile !

C'est très Joli [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] et plein de délicatesses.... merci

Saïgon / Navire / Métier
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"Bonjour papa, le navire a fait bonne route, nous avons eu des vents favorables. Nous faisons escale à Saïgon pour 1 semaine, j'en profite pour t'écrire, ne t'inquiète pas, je vais très bien et je suis heureux. On repartira ensuite vers les iles sous le vent. Passe le bonjour aux habitué du café, ça n'était pas un métier pour moi. Embrasse Fanny.

Ton fils qui te demande pardon et t'embrasse

Marius le Marseillais"

Qui prend la relève ? avec Atoll - Alyzée et lunettes

(On garde l'accent marseillais)



-Oh peuchère, Fanny !!! ça faisait longtemps que je t'avais pas vu !!!

-Té, Garance !!! Comment va ?

-Oué, ça va, comme ci, comme ça... tu sais, avec le Papé, c'est toujours un peu compliqué...

-Ah bon, il est toujours chez toi ?

-Hé oué, depuis qu'il s'est cassé la margoulette, il faut bien que quelqu'un s'occupe de lui ! Encore 15 jours avant qu'on lui enlève son plâtre... On voit même plus le blanc tellement les minots ont gribouillé dessus, mais ça les occupe, et ça fait rire le Papé. Au moins pendant ce temps, il me casse pas les roubignoles !

-C'est la scoumougne, ma pauvrette !

-Vé, c'est pas facile... Hier il a fallu que j'aille lui chercher ses lunettes chez Atoll à Aubagne. Il m'avait dit qu'il les avait commandé avant de faire le mariole avé la mobylette...
Je me pointe là bas : la vendeuse, elle vient vers moi, toute coincée avec sa bouche en coeur et son tailleur Chanel, et elle me dit : "Bonjour, je m'appelle Alysée, pour vous servir... que puis-je pour vous ?"...
Peuchère, je lui ai répondu "Bé, moi je m'appelle Garance, et je viens chercher les lunettes du Papé".. Hé bé, crois moi si tu veux, mais il les avait jamais commandé, j'ai perdu mon après midi !
Et zou, je suis rentrée et je l'ai emboucané de m'avoir fait courir à dache pour rien !

- Qu’es aco ? Tu crois qu'il perd la boule ?

-Bé tu sais , la mobylette, elle avait des sacoches, et dedans il y avait des bouteilles de pastis, toutes vides ! Alors je crois que c'est surtout le petit jaune qui le rend fada ! Au moins il est en sevrage chez moi, ça lui nettoie un peu le gosier !

-Té, c'est pour ça qu'il fait le couillon avec toi !

-Coquin de sort, tu as surement raison ! Allez je te laisse, il y a le pitchoun qui m'attend ! Tchao Fanny !

-Allez Garance, à la revoyure !





Pour la suite : stylo-plume, incendie et portière

Il était entrain d'écrire avec son stylo-plume le rapport de l'incendie du local de rangement du garagiste. Et là une idée lui vient :
Et le feu a pas été volontaire et qu'il a commencé derrière la portière ?
Il lui reste à suggerer cette supposition au commissaire Magret.

Mot suivant : hirondelle, printemps et jardin

[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] un aventure dans le Sud-Ouest de la France, la terre sainte du canard ? l'inspecteur Magret ? Vraiment ?