Une expulsion par la force. Lundi 5 février, vers 20h30, cinq hommes vêtus de noir et accompagnés d'un serrurier ont fait irruption dans un bâtiment de la place Jean-Jaurès, à Marseille. Ils ont alors forcé la serrure et expulsé le couple qui squattait un appartement du quatrième étage depuis plusieurs années.
Une scène qui s'est déroulée sous les yeux des voisins, qui restent encore marqués, une semaine après les faits.️
Citation :
"C'est assez choquant, insécurisant. Nous, ils ont déjà été menaçants plusieurs fois avant cet événement-là"
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] : franchement, je trouve scandaleux que des squatteurs puissent occuper impunément le bien d’autrui et que le propriétaire soit menacé de sanctions s’il veut le récupérer !! Où est la justice dans ce pays ? Où est le respect de la propriété privée ? Depuis quand les victimes sont-elles traitées comme des coupables ? Il est normal que les gens se fassent justice eux-mêmes quand la loi ne les protège pas... Et vous, qu’en pensez-vous ? Êtes-vous pour ou contre l’expulsion des squatteurs par des sociétés de sécurité privée ? N’hésitez pas à partager votre avis et à débattre avec moi....
Je trouve normal que les propriétaires d'un logement squatté réagissent et chassent les squatters (enfants ou pas) peu importe la période de l'année. Moi je pense aux personnes âgées qui ont investi dans un bien en vue de leur vieux jours (pour l'habiter ou en tirer un revenu). D'autant plus que les squatteurs , en général, détériorent le bien.
"Reste toi-même car tenter de plaire à tout le monde et de s'adapter à chacun est dérisoire. Il y aura toujours des personnes qui t'apprécieront pour qui tu es".
Lydie, Chopin, Dylan, Ysabelle, Pluton et paulau ont donné un avis positif
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Sur le cas de squatters notre justice est assez légère et toujours du mauvais côté. Personnellement je dis très bien. Dehors les envahisseurs squatters !
Les sanctions envers les squatteurs sont désormais plus importantes : le fait de s’introduire de manière illicite dans le logement d’une personne est puni de 3 ans de prison et de 45 000 € d’amende (contre 1 an de prison et 15 000 € d’amende auparavant) ; et le fait d’avoir occupé ce logement est puni des mêmes sanctions.
Par ailleurs, la loi du 27 juillet 2023 a précisé la définition pénale de domicile : « constitue notamment le domicile d'une personne, tout local d'habitation contenant des biens meubles lui appartenant, que cette personne y habite ou non et qu'il s'agisse de sa résidence principale ou non. » Les résidences secondaires sont donc également concernées par le délit de violation de domicile.
Rappel : dans le cas de squatteurs, la trêve hivernale ne s'applique pas. Leur évacuation forcée peut avoir lieu tout au long de l'année.
Perso pas question de laisser squatter une maison dont je serais propriétaire ! Punaise je serais furax !!! ce sont des gens vraiment culottés sans aucun scrupule !!! et en plus de çà ils [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image][Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image] saccagent tout !!!!!
J'ai très peu entendu parler de squatters dans les grandes villes de chez nous. Par contre ce type de comportement est culotté, aller s'installer chez autrui sans payer un centime.
Salutation depuis la Suisse
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Pluton
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Je suis d'accord avec [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien], c'est un sujet difficile : d'abord parce que ce problème est beaucoup dû à la crise du logement en France, ce n'est pas juste la question d'avoir envie de s'installer n'importe où, parfois, il se peut qu'on n'ait pas le choix... et parce que mettre à la rue des enfants, c'est quand même pas si simple, et il devrait y avoir une présence de l'état pour faire face à cette situation...
Ce qui n'empêche pas qu'on ne peut pas se faire piquer son logement quand on est propriétaire...
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Ne pas avoir le choix ne veut pas dire s’installer chez les autres non plus.
Ensuite, c’est vrai, il faudrait plus de logements sociaux pour ceux qui sont dans le besoin, je suis d’accord, mais beaucoup n’en veulent pas près de chez eux.
Problème difficile de logement oui, mais problème simple d’occupation de lieux qui ne sont pas à soi…
Moi si je me retrouvais en situation d'être à la rue avec mes enfants, et si j'avais le choix entre dormir dehors ou squatter, eh bien je squatterais, sans aucun scrupules. Pour mes enfants et pour pas me faire agresser dans la rue.
Le temps d'attente d'un logement social est terriblement long. Ils ne peuvent pas placer tout le monde donc ils donnent des appartements à ceux qui les harcèlent. Encore faut-il le savoir, moi je l'ai appris par le conseil départemental récemment dans le cadre de mon travail.
Effectivement, quand on est un petit propriétaire, se faire squatter c'est terrible, et je ne voudrais pas que ça m'arrive pour rien au monde.
Mais combien y a-t-il de familles à la rue en France ? C'est ça le problème !
Et mettre à la rue des enfants en plein hiver, je trouve que c'est normal que ça ne soit pas possible. Il y a effectivement le droit à la propriété d'un coté, mais de l'autre il y a le droit à la vie, et en hiver on peut mourir de froid.
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[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] Tu dit que tu ne voudrait pas qu'on te le fasse mais tu le ferai toi...même pour les raisons que tu dit je suis désoler...moi je ne tolère pas ça
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] Tu dit que tu ne voudrait pas qu'on te le fasse mais tu le ferai toi...même pour les raisons que tu dit je suis désoler...moi je ne tolère pas ça
Bah oui, si c'est une question de vie ou de mort, je le ferais... et toi, tu déciderais de te laisser mourir sur le trottoir ? Tu es sur ?
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Le nombre de personnes vivant dans la rue a augmenté de 50% entre 2001 et 2013, a déclaré vendredi Christophe Robert, délégué général adjoint de la Fondation Abbé Pierre, qui publie son rapport sur le mal-logement en France.
Selon cette étude annuelle de la Fondation Abbé Pierre, dont l'appel à lutter contre le phénomène des sans domicile fixe (SDF) a été lancé il y 60 ans, 3,5 millions de personnes sont mal logées en France en 2014, un chiffre en légère baisse par rapport à 2013.
Cette situation résulte de la précarisation des emplois et de l'augmentation du chômage conjugués au manque et au prix des logements, a-t-il souligné.
"On a un double processus qui crée des tensions extrêmes pour un nombre croissant de personnes, des personnes qui sont à la rue, qui augmentent de 50% entre 2001 et 2013 selon l'Insee, des personnes qui ne peuvent pas se loger dans les conditions actuelles du marché", a-t-il déclaré sur France Info.
Plus de 141.000 vivent dans la rue, selon l'étude. Elle font partie des 694.000 personnes sans domicile personnel, c'est-à-dire vivant parfois dans des habitations de fortune ou contraintes de loger chez un tiers.
Honneur Dignité Courage
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Il n'est pas question de leur donner raison. Ils sont effectivement hors la loi, c'est un fait. Mais ça n'empêche pas d'essayer de comprendre les rouages qui mènent à ce qu'une personne devienne un jour un squatter.
Chercher à comprendre, c'est aussi trouver le levier pour que cela ne se reproduise pas. C'est comme ça qu'on résoud des problèmes, en comprenant leur cause.
Dans ce cas, cela permet de mettre le doigts que le fait que avec un salaire de base, c'est à dire au smic, avec l'augmentation des loyers, on peut se retrouver dans l'incapacité de louer un logement. Et ça ce n'est pas normal...
Même si on n'est pas diplomé, on passe toute sa journée au travail... il faudrait qu'on puisse se loger avec le fruit de son travail !
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Il n'est pas question de leur donner raison. Ils sont effectivement hors la loi, c'est un fait. Mais ça n'empêche pas d'essayer de comprendre les rouages qui mènent à ce qu'une personne devienne un jour un squatter.
Chercher à comprendre, c'est aussi trouver le levier pour que cela ne se reproduise pas. C'est comme ça qu'on résoud des problèmes, en comprenant leur cause.
Dans ce cas, cela permet de mettre le doigts que le fait que avec un salaire de base, c'est à dire au smic, avec l'augmentation des loyers, on peut se retrouver dans l'incapacité de louer un logement. Et ça ce n'est pas normal...
Même si on n'est pas diplomé, on passe toute sa journée au travail... il faudrait qu'on puisse se loger avec le fruit de son travail !
Désoler [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] je comprend ton point de vu...mais imagine que tes en vacance et qu'à ton retour un squatteur est chez toi...tiendra tu encore le même langage...on peut être humaniste mais...ton bien c'est ton bien non?
Désoler [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] je comprend ton point de vu...mais imagine que tes en vacance et qu'à ton retour un squatteur est chez toi...tiendra tu encore le même langage...on peut être humaniste mais...ton bien c'est ton bien non?
Bien sur, je suis d'accord, et je ne dis pas le contraire. Retrouver son bien squatté est très problématique et je redis que ceux qui font ça sont hors la loi.
Mais on est dans une société où il y a beaucoup de rouages qui s'entremêlent : il y a des causes à cette situation. C'est en agissant sur les causes qu'on règle le problème, grâce à une vision qui dépasse le premier degré.
La raison des squats, à part quelques cas pour qui c'est un choix de vie, c'est les difficultés de logement en France et le fait que les salaires ne permettent plus de payer les loyer.
Si personne ne le dit, si aucun politique ne s'empare de ce problème, on va faire quoi ? continuer à pleurer quand notre logement se trouve occupé illégalement ? C'est pas une solution... Il faut prendre ce problème à sa base, et pas juste s'acharner sur ceux qui font ça...
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