Loi immigration : des rassemblements contre le texte prévus dans toute la France ce dimanche

Rappel du premier message :


À l’appel de plus 400 collectifs, associations, syndicats et partis politiques, une trentaine de rassemblements sont prévus dimanche 14 janvier 2024 contre la loi immigration. Une mobilisation qui vise à mettre la pression avant la décision du Conseil constitutionnel, prévue le 25 janvier.

Ouest-France

Citation :

« Cette loi s’attaque aux libertés publiques, bafoue les droits fondamentaux tels que le droit d’asile, réinstaure la double peine et fait honte à la France, qui prétend défendre les valeurs d’égalité entre toutes et tous. Nous exigeons donc le retrait de cette loi »

[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] : je ne comprends pas pourquoi les syndicats, qui sont censés défendre les travailleurs, se mobilisent pour une loi qui favorise les étrangers sans papiers .... Les retraités, eux, sont oubliés dans ce débat !!

greg a écrit:

Je peux comprendre ta réaction [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien], mais le Conseil Constitutionnel est là pour vérifier si les textes présentés sont conformes à la Constitution de 1958 ... dans le cas présent il a censuré 40% du texte parce que "non conforme" à la Consitution.. ce ne sont pas des "politiques" en exercice mais ce sont des gens qui maitrisent parfaitement la Constituion .

Conforme à quoâââ  
Constitution de 1958, donc celle qui interdisez aux femmes d'avoir un compte bancaire et de travailler sans "l'autorisation expresse" du mari ou père, cette même constitution qui en justice guillotiner allègrement, qui, pénaliser juridiquement l'homosexualité, qui embastiller les femmes qui avorter .... bref je ne vais pas mettre en avant toutes les "modifications de ladite "Constitution de 58" mais pour ma part cette Constitution n'a plus aucune valeur en 2024.

j'écoute a écrit:

greg a écrit:

Je peux comprendre ta réaction [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien], mais le Conseil Constitutionnel est là pour vérifier si les textes présentés sont conformes à la Constitution de 1958 ... dans le cas présent il a censuré 40% du texte parce que "non conforme" à la Consitution.. ce ne sont pas des "politiques" en exercice mais ce sont des gens qui maitrisent parfaitement la Constituion .

Conforme à quoâââ  
Constitution de 1958, donc celle qui interdisez aux femmes d'avoir un compte bancaire et de travailler sans "l'autorisation expresse" du mari ou père, cette même constitution qui en justice guillotiner allègrement, qui, pénaliser juridiquement l'homosexualité, qui embastiller les femmes qui avorter .... bref je ne vais pas mettre en avant toutes les "modifications de ladite "Constitution de 58" mais pour ma part cette Constitution n'a plus aucune valeur en 2024.

Rien à voir avec la Constitution mais avec , entre autres, le code pénal et le code civil.

A quoi servent les sages si c'est Macron qui a le dernier mot

paulau a écrit:

j'écoute a écrit:

greg a écrit:

Je peux comprendre ta réaction [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien], mais le Conseil Constitutionnel est là pour vérifier si les textes présentés sont conformes à la Constitution de 1958 ... dans le cas présent il a censuré 40% du texte parce que "non conforme" à la Consitution.. ce ne sont pas des "politiques" en exercice mais ce sont des gens qui maitrisent parfaitement la Constituion .

Conforme à quoâââ  
Constitution de 1958, donc celle qui interdisez aux femmes d'avoir un compte bancaire et de travailler sans "l'autorisation expresse" du mari ou père, cette même constitution qui en justice guillotiner allègrement, qui, pénaliser juridiquement l'homosexualité, qui embastiller les femmes qui avorter .... bref je ne vais pas mettre en avant toutes les "modifications de ladite "Constitution de 58" mais pour ma part cette Constitution n'a plus aucune valeur en 2024.

Rien à  voir avec la Constitution mais avec , entre autres, le code pénal et le code civil.

Comment rien a voir, toutes ces "douceurs" était totalement "Conformes" à la Constitution de 58