Le Premier ministre "avait promis, la main sur le cœur, avec des trémolos dans la voix, qu'il emmenait l'Éducation nationale à Matignon", rappelle Sophie Vénétitay. "Visiblement, il a surtout emmené le budget." Le ministère de l'Education nationale, avec près de 700 millions d'euros en moins, se retrouve "l'un des plus gros contributeurs au rabot sur les crédits sur le prochain budget".
Diminuer un budget est une chose, mais il faut bien choisir le secteur des diminutions. Je verrais dans l'administration du ministère et surtout pas dans l'enseignement.
Salutation depuis la Suisse
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Denis
Les Meilleurs anim'joueurs
Un Grand merci d'animer la section jeux
Merci pour les 12 ans de "Petite Feuille"
De la part de toute l'équipe de "Petite Feuille" nous vous remercions, vous tous, pour votre participation et votre soutien !
Merci pour vos talentueux textes !
Félicitation ! une histoire originale, tendresse, humour, coquine… Bravo !
"Y'love Music 2023
Hit Parade de la Fête de la Musique
La rentrée au travail : le jeu des défis
Merci d'avoir illuminé notre jeu de la rentrée avec ta présence joyeuse et ton humour pétillant
Alors pour revenir au sujet franchement, comment peut-on envisager de sacrifier l'éducation de nos enfants au nom de l'austérité ? c'est une décision incompréhensible et scandaleuse !!! Gabriel Attal devrait être là pour défendre l'éducation, pas pour la sacrifier sur l'autel de l'économie les collèges et lycées ont besoin de moyens, pas de coupes budgétaires c'est une véritable trahison envers la jeunesse et l'avenir de notre pays....
Il est vrai que dans bon nombre d'administrations il y a beaucoup de "glandeurs", je ne sais dans l'enseignement, mais le manque d'enseignants et l'enseignement par lui même serait à revoir sérieusement !