Aujourd’hui, je me penche sur une question qui me tient à cœur : les inégalités sociales en France. Je me demande, quelle France voulons-nous pour demain ? Une France où chaque enfant a les mêmes chances de réussir, indépendamment de son milieu d’origine.
Je vis dans un pays où la richesse est abondante, mais mal distribuée. Comment est-ce possible que, dans la même ville, certains ne peuvent pas se permettre un repas chaud alors que d’autres jettent de la nourriture ? C’est une réalité qui me frappe chaque jour.
Je rêve d’une politique où l’éducation serait le pilier de l’égalité des chances. Pourquoi ne pas garantir un accès universel à des programmes éducatifs de qualité ? Cela pourrait être le premier pas vers la réduction des écarts de richesse.
Je pense aussi à l’emploi. Ne devrions-nous pas encourager les entreprises à offrir des salaires équitables et des opportunités de carrière à tous leurs employés ? Cela contribuerait à une société plus juste.
Je suis convaincue que nous pouvons agir. Par des politiques fiscales progressives, par des investissements dans les services publics, par un soutien aux initiatives locales qui œuvrent pour l’inclusion.
Je vous laisse avec cette image, qui, je l’espère, inspirera notre débat. Elle représente l’écart entre les riches et les pauvres, un écart que nous pouvons et devons combler.
Comment la solidarité nationale peut-elle jouer un rôle dans la réduction des inégalités sociales ?
Si on retourne loin en arrière, c'est certain il y avait les Seigneurs, les nobles et à côté les vilains, les serfs ... de nos jours il y a les très riches et les très pauvres, la classe intermédiaire se rétrécit d'année en année ! Je vois mal sincèrement comment on va rééquilibrer, surtout tant que notre gouvernement restera dans sa tour dorée !!
Pour s'enrichir, il faut déjà être riche à la base. On voit bien que les filières valables sont suivies par des étudiants issus des classes moyennes et supérieures, que pour monter une affaire il faut disposer de liquidités, et que les gosses d'ouvriers qui, naguère, se présentaient aux concours de la Fonction publique qui étaient gages d'ascension sociale, stagnent à présent dans des jobs jetables jusqu'à l'âge mûr. Jadis, un ouvrier pouvait évoluer dans sa carrière, puis se mettre à son compte quand il exerçait un métier d'artisanat. Quel que soit le métier, il y avait toujours une idée de progression, dont les descendants tiraient profit au travers de bonnes études, de la reprise d'un commerce. La précarisation des emplois, la multiplication des contrats jetables, la désindustrialisation avec son lot de délocalisations, ont acculé les classes populaires à une pauvreté qui, de durable, s'est faite chronique. Un lumpenprolétariat de masse s'est créé en France, qui n'existait avant que de manière embryonnaire et touchait essentiellement les populations immigrées vivant en bidonvilles et foyers. Seules les allocations de survie permettent à ces populations de garder relativement la tête hors de l'eau.
Parallèlement, les CSP+, cadres dirigeants et gros industriels alignent des salaires aux montants insolents, favorisés par une politique visant à "encourager la création de richesses" dont ne profite qu'une petite minorité bien cloisonnée, ultra-protégée, en lien étroit avec les apparatchiks des pouvoirs qui sont leurs laquais.
Cela fait quand même un demi-siècle que la gauche promet un Smic honorable. 1000 francs sous le Programme commun en 1974, 2000 € promis par Mélenchon aux dernières Présidentielles. Or, la gauche a été au pouvoir durant 14 années où elle a souscrit aux injonctions de l'UE et mis en place, avec l'accord des syndicats, la précarisation des emplois et les contrats jetables, avec la contrepartie du RMI histoire de garantir la paix sociale. La dislocation de la société française était à l'oeuvre, avec la marginalisation programmée d'une partie de la population pas taillée pour jouer les Bernard Tapie, idole de la Deuxième Gauche.
On ne peut pas remonter le temps, revenir sur les politiques qui ont créé les inégalités que l'on sait et ont aggravé celles déjà existantes. Il n'y aura pas plus de révolution que d'insurrection. On a vu avec la séquence des Gilets Jaunes que les revendications exprimées partaient dans tous les sens. Les seuls points où elles se rejoignaient portaient sur la fiscalité.
Or si on veut une société plus égalitaire, où l'argent est mieux réparti, ça supposerait une politique fiscale dont personne ne voudrait entendre parler. Prendre aux uns pour donner aux autres, là où la fiscalité existante est déjà confiscatoire. On a exploré au début des années 2000 les théories décroissantes. Là encore, on vise à côté. Les pauvres n'ont pas envie de consommer moins avec peu mais veulent du pouvoir d'achat pour vivre mieux et plus. Ce qui est légitime. Et les questions d'éducation n'ont rien à voir avec ça. Demandez à un pauvre s'il veut des bouquins, du savoir, apprendre le violon ou une voiture neuve, un appart' dans un bon quartier, son pavillon individuel avec piscine et des vacances aux Caraïbes.
Pas de solution tant qu'on élira des gens payés à maintenir le système tel qu'il est, ou d'autres qui prétendent servir la soupe aux prolos en leur affirmant que s'ils sont pauvres c'est à cause des étrangers, par ailleurs aussi mal barrés qu'eux. Pas d'espoir non plus à gauche, qui a fait la preuve de sa générosité dans le discours plus que dans les faits, et moins encore chez les tenants d'une écologie surtout punitive qui ménage la chèvre et le chou entre leur conception dévastatrice de la protection de l'environnement (collines arasées pour y implanter des centrales solaires, bagnoles et vélos électriques, mise en avant du nucléaire....) et adhésion aux diktats de l'UE.
ben, tu sais, [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] , j'ai trouvé ton point de vue super intéressant ! Ouais, la comparaison avec l'histoire, ça tient la route. Mais bon, faut pas oublier qu'on peut quand même bouger dans la société, même si c'est pas toujours facile. Genre, y a des trucs mis en place pour aider, comme l'éducation gratos et des programmes pour trouver du boulot !! Mais franchement, y a toujours des obstacles, surtout avec toutes ces politiques qui avantagent les riches. Perso, je pense qu'on devrait vraiment réformer le système fiscal, tu vois, et partager mieux les richesses. Ça pourrait vraiment faire la différence...
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] , ton point sur les défis des classes populaires, c'est du vrai !! mais, j'pense qu'on devrait pas juste s'asseoir et regarder ça, tu vois ?!! L'éducation et la formation pro, c'est comme des super outils pour casser ce cycle de galère... J'veux dire, quand tu sais des trucs, t'as plus de chances, non ? Pis, en plus de ça, si on donne un coup de pouce aux p'tites boîtes dans les quartiers pauvres, ça pourrait vraiment aider à équilibrer les choses dans l'économie... ça me semble tellement logique, non ?
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] : D'accord pour la formation, qui je trouve est l'une des grosses failles du système. N'importe qui désireux de se former, indépendamment de son âge, de son statut social, de son niveau d'études, devrait pouvoir accéder à la formation qui l'intéresse, or c'est loin d'être le cas. Trop d'obstacles bureaucratiques, matériels, trop de guichets, d'assos' bidons et autres flics de l'insertion qui sont là pour trier, temporiser, occuper les gens à des conneries de groupes de parole au lieu de les dynamiser, trop de psy d'abattage, trop de culs-plats trop bien payés à faire la pluie et le beau temps dans leurs bureaux bien chauffés. Je suis pour une émancipation de ces parcours du combattant infligés à qui souhaite avancer dans sa vie.
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] quand j'ai décidé de quitter le commerce à 27 ans, je me suis dit qu'il était temps de changer de voie. J'ai donc opté pour un rattrapage afin d'obtenir un BAC social à Maltôt, dans le (14). Bon, ça remonte un peu et je ne suis pas sûre que cette école existe encore, mais à l'époque, c'était une aubaine : la formation était payée par l'État ! Ça m'a vraiment ouvert des portes sur le marché de l'emploi dans le social. J'ai eu la chance de bosser au café des images, à la comédie de Cean, et même au centre des vacances à Hérouville. Franchement, c'était le pied !
Puis, chemin faisant, grâce à mon mari qui a décroché des promotions, on s'est retrouvés à Dieppe. À l'ANPE, en plein dans les années 80, on m'a suggéré de me lancer dans une formation de programmation informatique. Sur le coup, ça m'a surpris, mais je me suis dit "pourquoi pas ?".
Alors me voilà, à passer mon diplôme au lycée Pablo Nurenda. Ça n'a pas été facile tous les jours, mais ça en valait la peine. Grâce à ce diplôme et à ma formation d'animatrice, j'ai pu décrocher une place à l'APF de Bayonne. C'est dingue comme les formations peuvent ouvrir des portes, tu trouves pas ?
Voilà pourquoi, selon moi, les formations sont essentielles. Ça peut vraiment changer ta vie, te donner des opportunités que tu n'aurais jamais imaginées sinon.
surpris cette année de ma prime de participation , j ai touché 100 euros de moins alors que le chiffre d affaire a été plus haut , pas d absence , présent quand on me le demande , remplacant meme , bref c est comme ça
je me dis qu un ( geste) d encouragement ne m est pas le patron en péril et que ça fait plaisir aux salariés , mais apparement , ça ne fonctionne pas comme ça d ou le sujet
je me dis qu un ( geste) d encouragement ne m est pas le patron en péril et que ça fait plaisir aux salariés , mais apparement , ça ne fonctionne pas comme ça d ou le sujet
Oui les formations peuvent aboutir à l'issue sur un emploi, mais combien en font et restent à pointer à pôle emploi ... en fait il faudrait des formations en fonction des postes que l'on propose ! Et attention aux formations d'état longues, pas de cotisation pour la retraite complémentaire, tout comme tous les emplois d'état (CES) !!
je me dis qu un ( geste) d encouragement ne m est pas le patron en péril et que ça fait plaisir aux salariés , mais apparement , ça ne fonctionne pas comme ça d ou le sujet
bin non
vu que le geste n'est jamais assez fort
plus tu donnes plus il faut encore donner
non pas plus donner , récompenser ceux ou celles qui le méritent , ni plus ni moins
je me dis qu un ( geste) d encouragement ne m est pas le patron en péril et que ça fait plaisir aux salariés , mais apparement , ça ne fonctionne pas comme ça d ou le sujet
bin non
vu que le geste n'est jamais assez fort
plus tu donnes plus il faut encore donner
non pas plus donner , récompenser ceux ou celles qui le méritent , ni plus ni moins
comment chiffrer le mérite ?
le patron donne 100 les syndicats exigent 500
si le patron donne 500 les syndicats exigeront 1000
non pas plus donner , récompenser ceux ou celles qui le méritent , ni plus ni moins
comment chiffrer le mérite ?
le patron donne 100 les syndicats exigent 500
si le patron donne 500 les syndicats exigeront 1000
chez nous pas de syndicat , nous sommes une centaine a y bosser , et nos chefs connaissent leurs employés(e) mais le hic ils ne risquent d aller trouver le patron pour lui dire de donner une petite compensation a certains(e)
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