Après la dissolution, Emmanuel Macron compte s'impliquer personnellement dans la campagne des élections législatives anticipées. Autour de lui, plusieurs préféraient qu'il fasse "profil bas", car sa figure est un "repoussoir".
Moi, perso, je pense que Macron devrait peut-être prendre un peu de recul, non ? J'veux dire, ça peut être bien qu'il s'investisse dans la campagne, mais à un certain point, ça peut aussi foutre la pagaille. Si la majorité dit "non merci", y'a peut-être une raison, non? On veut pas que ça devienne un cirque, avec lui qui parle à tout va. Un peu de calme, ça ferait pas de mal, je dis ça comme ça.....
ça me fait doucement rire quand je lis que le Président brasse de l'air quand il aprle.
Sans doute brassait-il de l'air quand il a dit supprimer la texe d'habitation.. Sans doute a-t-il brasser de l'air quand il a dit qu'il fallait réformer le régime de retraites Sans doute brassait-il de l'air quand il Sans doute brassait-il de l'air quand il a souhaité inscrire l'IVG dans la Constitution Sans doute brassait-il de l'air quand il impose un barème pour les licenciements abusifs Sabs doute brassait-il de l'air quand il décide de l’interdiction des emplois familiaux pour les ministres, parlementaires et élus locaux.
Bon je cesse là la litanie... je ne suis pas proMacron, mais je suis et reste malgré tout lucide et réaliste !
"Même sans espoir, la lutte est encore un espoir "
j'écoute a donné un avis positif
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J'ai écouté (pas tout parce que j'ai été dérangée) et j'ai été hallucinée.... Je ne sais pas si c'est moi, mais j'ai trouvé cette intervention lunaire.
Son argument c'était que tous les autres étaient en train d'essayer de se regrouper avec des extrêmes, et que donc il n'y avait que lui qui restait dans l'axe républicain. Puis il a repris la ligne de conduite du RN en disant qu'il sera plus sécuritaire et autoritaire, et (la blague) a proposé un grand débat sur la laïcité.
Il a présenté la situation comme s'il était la seule solution viable.
Puis il est parti dans tout un tas de promesses qui sont comme toutes les promesses qu'il a fait depuis toujours !
Et oui [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] ... force est de constater qu'en France la politique se divise en trois "blocs " .. la gauche dans sa diversité, la droite également dans sa diversité et le centre ... et il n'y a rien de bien nouveau sur cet état de fait !
"Même sans espoir, la lutte est encore un espoir "
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Ben oui, tu as raison [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien], il y a 3 groupes qui se dessinent, et en effet, rien de nouveau sous le soleil.
Mais l'échiquier bouge quand même : le bloc droite est plus à droite, le bloc gauche semble plus large (à confirmer), mais surtout le bloc centre n'est pas du tout au centre. Selon son discours de ce matin, Macron est clairement très à droite aussi !
Je n'ai pas de définition personnelle du centrisme, communément ce sont les personnes qui se situent entre la gauche et la droite. Mais il y a toujours des centres-droite et des centres-gauche. Et quand les centres-droite sont très à droite, eh bien ce n'est plus du centrisme...
Le centre a existé un moment par exemple avec le Modem. Mais maintenant ? Bayrou a viré à droite comme beaucoup de politiciens qui se prétendait centristes, et qui au final ressemblaient plus à des personnes qui n'osaient pas se dire de droite...
Avec son "en même temps", Macron au moment de son premier mandat se présentait un peu comme étant ni à droite ni à gauche, donc ça pouvait s'approcher du centrisme... au final, c'était aussi à droite, et ça l'est encore plus.
Donc au final, pour moi, je crois que le centre n'existe pas.
Ben oui, tu as raison [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien], il y a 3 groupes qui se dessinent, et en effet, rien de nouveau sous le soleil.
Mais l'échiquier bouge quand même : le bloc droite est plus à droite, le bloc gauche semble plus large (à confirmer), mais surtout le bloc centre n'est pas du tout au centre. Selon son discours de ce matin, Macron est clairement très à droite aussi !
Effectivement, on a aujourd'hui en France deux droites, la droite réactionnaire, conservatrice, héritière des royalistes, de Maurras, de Pétain, croyant en une France éternelle, avec une composante fascisante, et une droite libérale sur le plan économique, la droite de la finance, des affaires, héritière de Guizot, de Thiers, des chrétiens démocrates.
Aucune de ces deux droites n'est politiquement véritablement libérale. Les deux sont autoritaires et répressives.
Il manque la droite sociale, gaullistes de gauche, chrétiens démocrates, et la droite gaulliste, démocrate, sociale et nationaliste.
MLP a voulu une alliance avec les partisans de Zemmour, mais n'a pas voulu d'alliance avec celui-ci par ce qu'il sert de repoussoir et la valorise.
Le centre est une illusion.
A gauche, nous avons le PC, les héritiers de Staline et de Georges Marchais, qui ont mis de l'eau dans leur vin, mais dont la vision du monde est archaïque. Il a perdu son assise populaire et sa capacité à représenter et défendre les ouvriers et les employés.
Nous avons la gauche sociétale et vaguement sociale, avec le PS, qui partage la responsabilité de la situation actuelle avec la droite, sociale et anti capitaliste pendant les élections et sauf exception, économiquement libérale quand elle est au pouvoir.
Nous avons les écologistes, qui ont compris pour la plupart que "L'écologie sans la lutte des classes, c'est du jardinage", pour reprendre une formule célèbre.
Et, enfin, il y a LFI, qui a repris un discours de lutte des classes, sociétalement de gauche, ouverts aux minorités, mais dont, sur certains points, les analyses sont absurdes, dépassées et parfois dangereuses.
Et il y a Mélenchon, qui joue un jeu dangereux et vain.
Ces quatre gauches se sont unies, pour elles, c'est une question de survie.
Aujourd'hui à 16:01 par 
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