Pour Valls, l'arrivée des réfugiés est un "choc"

Le Premier ministre a expliqué qu'"absorber plus d'un million de personnes en quelques mois" était un "choc" pour la France et pour l'Union européenne.

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«C'est un défi considérable, nous ne pouvons pas accueillir tous les réfugiés qui veulent quitter la Syrie»,

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«c'est le choix des Allemands et il faut le respecter». Il a évoqué la «tradition d'accueil» de l'Allemagne, le «droit d'asile qui doit trouver une traduction et puis aussi un projet politique, économique, démographique». Il souligne églament que : «ce n'est pas, c'est clair, le choix de la France».

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«il faut faire très attention à tous les messages qui créent ces mouvements de population, de l'espoir, ces réfugiés ont décidé à un moment de converger vers l'Allemagne».

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Partie de discours à l’assemblé (novembre 2015)

Appelant à un contrôle stricte des frontières, le Premier ministre a été intransigeant sur l'accueil des réfugiés : «L'Europe doit dire qu'elle ne peut plus accueillir autant de migrants, ce n'est pas possible», a-t-il martelé.

«Si nous ne le faisons pas [contrôler les frontières], les peuples vont dire : 'ça suffit l'Europe!'», a déclaré Manuel Valls, rappelant que le contrôle des frontières extérieures était «essentiel» pour le futur de l'UE. Partie de discours à l’assemblé (novembre 2015)

Ces déclarations du Premier ministre semblaient par ailleurs avoir un lien étroit avec les attentats de Paris du 13 novembre dernier et la menace djihadiste sur le sol européen.  (Sources RT)

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«C'est un défi considérable, nous ne pouvons pas accueillir tous les réfugiés qui veulent quitter la Syrie»