Delphine Paquereau a subi pendant des années la maladie de sa mère, celle-ci était persuadée que sa fille était gravement malade…
Pendant plus de 15 ans, Delphine Paquereau* a subi la folie destructrice de sa mère, touchée par le syndrome de Münchhausen par procuration (SMPP).
Un terme médical un peu barbare attribué à des parents rendant volontairement malade leur enfant pour attirer l’attention sur eux.
Dans un témoignage édifiant publié le 31 mars (Câlins assassins, Ed. Max Milo), la « rescapée » de 33 ans raconte comment sa mère a manipulé son entourage, y compris médical, pour faire d’elle une enfant souffrante, allant jusqu’à lui faire retirer un rein.
Un tel drame n'est hélas pas rare Certaines mères en arrivent à de tels faits & gestes d'une gravité sans précèdent, pour cause une maladie surnommée : Syndrome de Münchhausen par procuration
« Les vertus réelles excusent et plaignent ~ les fausses vertus accusent et déchirent » Paul Thiébault
Le membre suivant remercie pour ce message :
Gustine
11 ans de Petite Feuille ♥
Merci de votre amitié
Félicitation pour ton grade "Premium"
Un grand merci pour ta fidélité et pour ta gentillesse
Félicitation pour ton grade "V.I.P.+"
J'ai la joie de vous annoncer que votre assiduité a été récompensée
Merci pour les 12 ans de "Petite Feuille"
De la part de toute l'équipe de "Petite Feuille" nous vous remercions, vous tous, pour votre participation et votre soutien !
Vous êtes vraiment les meilleurs !
Une récompense bien méritée pour nos posteurs les plus actifs!
Vous êtes vraiment les meilleurs !
Une récompense bien méritée pour nos posteurs "Mordu d'actualité" !
Hélas oui c'est plus courant qu'on ne le pense ... Encore faut-il que celà soit décelé afin que les enfants n'en subissent pas de graves dégâts psychologiques et physiques ... C'est rarement le cas ....
Un tel drame n'est hélas pas rare Certaines mères en arrivent à de tels faits & gestes d'une gravité sans précèdent, pour cause une maladie surnommée : Syndrome de Münchhausen par procuration
Je n'ai jamais compris non plus que les médecins soient aussi manipulés par ces personnes ... dont c'est le seul but !.... Devant une enfant qui ne présente pas de symptômes, comment des médecins ne se posent pas de questions quand aux dires de la mère ...
Un enfant décrit difficilement ses symptômes. Sous influence maternelle, il peut être amené à dire des douleurs qu'il ne ressent pas et peut être par finir de les ressentir (phénomène d'autopersuasion) Les médecins n'ont donc que la parole de la mère pour se fier aux douleurs. Certaines de ces mères vont jusqu'à administrer de quoi rendre vraiment malade leur enfant. Ces femmes sont des perverses narcissiques qui ont besoin de briller. Ce syndrome peut prendre diverses formes plus ou moins prononcé.
Les médecins fermeraient-ils les yeux sur le sujet C'est fort possible Il y a de nombreux cas similaires à celui-là En moins grave (enfin ce n'est pas dit) Un enfant qui a obligation de voir le psy La mère également influence l'enfant avant visite, afin qu'il ne dise pas ce qu'elle ne voudrait pas qu'il dise
Dans ce genre de cas également, les psys ne sont pas dupent Les psys " ne sont pas des sciences infuses " que je sache pas plus que tout un chacun.
L'argent " prévaut" souvent tout, même dans le Médical C'est écœurant, cela se nomme " de l'abus de pouvoir" rien n'est surveillé Toutes ces personnes qui ont " un titre quelque part" On tous les droits, sans surveillance.
« Les vertus réelles excusent et plaignent ~ les fausses vertus accusent et déchirent » Paul Thiébault
Le membre suivant remercie pour ce message :
Johane
Félicitation pour ton grade "V.I.P.+"
J'ai la joie de vous annoncer que votre assiduité a été récompensée
Félicitation pour ton grade "Premium"
Un grand merci pour ta fidélité et pour ta gentillesse
Merci pour les 12 ans de "Petite Feuille"
De la part de toute l'équipe de "Petite Feuille" nous vous remercions, vous tous, pour votre participation et votre soutien !
Catherine Lemorton, présidente de la commission des lois (PS) et Laurence Rossignol, ministre de la famille, de l'Enfance et des Droits des femmes, lors du débat sur le délit d'entrave à l'avortement.
Alors que la proposition de loi sur la création d’un délit d’entrave numérique à l’IVG est débattue jeudi à l’Assemblée, les témoignages d’Aurore Bergé, élue Les Républicains, et d’une journaliste de l’Express dénoncent le discours des sites, qui sous couvert d’aider les femmes, les dissuadent en fait d’avoir recours à l’avortement, pour des raisons purement idéologiques.
Les deux femmes ont pris contact avec le site IVG.net, le premier à apparaître quand on tape IVG sur Google.
Parmi les remarques de l’interlocutrice d’ivg.net relevées par L’Express.fr : «Si la femme veut éviter une grossesse, elle fait un petit peu attention à ses règles […] Vous aurez bien vu qu’un embryon avec un petit cœur qui bat, c’est pas comme une dent qu’on arrache.»
D'un département à un autre département Les réponses sont différentes. ivg.net, donne un avis trop catégorique
Différences entre IVG & IMG
IVG
Partie de texte
L'interruption volontaire de grossesse (IVG) désigne en France un avortement déclenché pour des raisons non médicales, à la suite d'une décision personnelle et/ou familiale dans un cadre légal. Lorsque l'intervention est pratiquée en dehors des conditions fixées par la loi, on parle d'avortement clandestin.
Lorsque l'intervention est motivée par des raisons médicales, que la poursuite de la grossesse soit dangereuse pour la santé de la mère ou parce que le fœtus ou l'embryon est atteint de malformations ou d'une maladie grave et incurable au moment du diagnostic, il est question d'interruption thérapeutique de grossesse (ITG) ou d'interruption médicale de grossesse (IMG).
L'interruption médicale de grossesse (IMG), également appelée avortement thérapeutique, est une interruption volontaire de grossesse pour motif médical.
En France, en pratique, elle « peut, à toute époque, être pratiquée si deux médecins membres d'une équipe pluridisciplinaire attestent, après que cette équipe a rendu son avis consultatif, soit que la grossesse met en péril grave la santé de la femme, soit qu'il existe une forte probabilité que l'enfant à naître soit atteint d'une affection d'une particulière gravité reconnue comme incurable au moment du diagnostic ». Elle est possible en France à tout âge, et jusqu'au terme de la grossesse (article L. 2213-1).
Par le passé, combien de femmes mourraient des suites d'un avortement clandestin. La loi du 17 janvier 1975 dite loi Veil a mis fin à ses pratiques barbares. Les raisons d'une IVG peuvent-être de tout autre, et peuvent faire suite parfois également à un viol
Partie de texte en relation avec le projet que Simone Veil avait débattu devant l'assemblée nationale
"Je voudrais tout d'abord vous faire partager une conviction de femme — je m'excuse de le faire devant cette Assemblée presque exclusivement composée d'hommes : aucune femme ne recourt de gaieté de cœur à l'avortement. Il suffit d'écouter les femmes. C'est toujours un drame et cela restera toujours un drame."
Les New-Yorkais jettent leurs mauvais souvenirs de 2016 à la broyeuse
Publié le 29/12/2016
A quelques jours de la nouvelle année, les New-Yorkais ont été invités à griffonner leurs plus mauvais souvenirs de 2016 pour les mettre à la broyeuse lors du "Good Riddance Day", un évènement organisé chaque année depuis dix ans par la ville. Les New-Yorkais n'ont pas manqué d'inspiration: beaucoup ont souhaité oublier la violence de la campagne présidentielle, tandis que certains ont broyé le souvenir de l'élection de Donald Trump à la tête du pays.