Une journaliste japonaise de 31 ans meurt après 159 heures supplémentaires en un mois de travail

"Le travail, c'est la santé, ne rien faire, c'est la conserver", disait avec beaucoup de sagesse le chanteur Henri Salvador. Une maxime dont devrait s'inspirer les Japonnais, très mauvais élèves en matière de santé au travail.

Dans le pays, un employé sur cinq travaille plus de 49 heures par semaine en moyenne. Ce qui entraîne plusieurs centaines de cas de burn-out mortels chaque année. Un fléau baptisé le "karoshi", que l'on peu traduire par "mort au travail par surmenage", qu'a vécu une jeunes journaliste japonaise, morte suite à un malaise cardiaque causé par un sévère épuisement après 159 heures d'heures supplémentaires en un mois de travail.

la pauvre..fait de la peine...partie  si jeune...

elle est victime  d'une culture  du travail.. admirable culture  mais   c'est connu tout excés de n'importe quoi   c'est mortel.

il y a quelque jours j'ai appris qu'il y avait un concours mondial du plus long baiser... les vainqueurs leur baiser a duré 58 heures et quelques poussiéres...du n'importe quoi en definitive... c'est à faire degouté du baiser pour la vie. moi je serai mort étoufé.

Voila le résultat de l'esclavage autorisé


pauvre fille