À l’issue d’une conférence de soutien à l’Ukraine à l’Élysée, qui a rassemblé 25 dirigeants occidentaux, le chef de l’État a appelé à un « sursaut » des alliés de Kiev.
La discussion aura duré presque six heures. Réunis à l'Élysée, 25 chefs d'État occidentaux, ou leurs représentants, ont participé lundi 26 février à une conférence pour discuter du soutien à l'Ukraine, deux ans après le début de la guerre contre la Russie. Pour entamer la conférence, vers 17 h 30, Emmanuel Macron a appelé à un « sursaut » nécessaire des alliés de Kiev : « Nous sommes sans doute à un moment qui nécessite notre sursaut à tous » et « implique des décisions fortes » pour « faire plus », a déclaré le président de la République....lepoint.fr/monde....ICI
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]..... Il faut savoir qu'il y en a déjà, ceux qui accompagnent les chars , etc.... Mais de là a en envoyer au sol , ça pose question.
Quand la bêtise gouverne, l'intelligence est un délit.... Henry de Montherlant
et je redis qu il ne faut pas montrer au Kremlin que nous sommes faible , sinon il ira beaucoup plus loin et qui sait ce qui peut arriver ........ il est pas fou Macron , et il a le service de la défense qui le tient au courant
SUIVI | "Ce n'est pas une demande des Ukrainiens d'avoir ce soutien de troupes sur place. Aujourd'hui, la priorité, c'est d'aider l'Ukraine à se défendre avec du soutien matériel."
Thomas Gassilloud, président de la Commission de défense et des forces armées
ALERTE INFO - Russie : Vladimir [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] s'adresse à l'Occident en déclarant : « Nous aussi avons des armes capables d'atteindre des cibles sur votre territoire » et mentionne un « réel risque nucléaire ».
Le président russe soutient que l'Occident se perçoit comme étant « suprême » et critique : « la russophobie aveugle les gens et les prive de leurs facultés rationnelles ». Il met en garde : « Ils doivent comprendre que nous avons aussi des armes, des armes qui pourraient les vaincre sur leur propre territoire », soulignant que les menaces provenant de l'Occident engendrent « un réel risque » de conflit nucléaire. ️
Au sujet de la Russophobie dénoncée par Poutine.
La russophobie de nos dirigeants ne s’explique pas par la crainte d’une prétendue « menace russe » ou par le caractère « dictatorial » du gouvernement de Poutine,. Elle s’explique par la révolution conservatrice de Poutine, c’est-à-dire un retour à des normes et des valeurs détestées par les oligarchies françaises et européennes. La Russie heurte l’Occident car elle défend une vision politique et éthique, qui est à l’opposé de celle du nihilisme occidental. Patriotisme, natalisme, défense des traditions religieuses et familiales, enracinement dans l’histoire, restauration de la puissance et de l’indépendance, toutes ces valeurs que de Gaulle a restaurées en France, sont détestées par les oligarchies européennes et par l’idéologie des élites. Les élites européennes voient dans la Russie poutinienne le danger d’un exemple pour les peuples européens. Si ces derniers devenaient conservateurs ce serait la fin de nos élites.
«La liberté d'expression n'est pas faite
pour tenir des propos courtois
et raisonnables»
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La russophobie de nos dirigeants ne s’explique pas par la crainte d’une prétendue « menace russe » ou par le caractère « dictatorial » du gouvernement de Poutine,. Elle s’explique par la révolution conservatrice de Poutine, c’est-à-dire un retour à des normes et des valeurs détestées par les oligarchies françaises et européennes. La Russie heurte l’Occident car elle défend une vision politique et éthique, qui est à l’opposé de celle du nihilisme occidental. Patriotisme, natalisme, défense des traditions religieuses et familiales, enracinement dans l’histoire, restauration de la puissance et de l’indépendance, toutes ces valeurs que de Gaulle a restaurées en France, sont détestées par les oligarchies européennes et par l’idéologie des élites. Les élites européennes voient dans la Russie poutinienne le danger d’un exemple pour les peuples européens. Si ces derniers devenaient conservateurs ce serait la fin de nos élites.
Ce message pose plusieurs problèmes.
Le premier tient à ce qu'on peut détester Poutine, sans avoir rien contre les Russes en tant que tel.
Le second tient à ce qu'il fait l'impasse sur la politique étrangère de la Russie, qui est impérialiste est expansionniste, notamment au détriment de ses voisins. Pour Poutine, ancien agent du KGB, la chute de l' URSS constitue la plus grande catastrophe du XXème siècle.
Le troisième tient aux méthodes utilisées par Poutine pour imposer sa révolution conservatrice, la construction d'un état totalitaire, exigeant la mobilisation des citoyens, tuant les opposants, etc.
Le quatrième problème porte sur le revers de la révolutions conservatrice de Poutine, pour les femmes, pour les minorités sexuelles, ethniques etc...
En fait si, au lieu d'être président de la Russie, prônant une idéologie réactionnaire, Poutine était premier secrétaire de l'URSS, toute l'extrême droite européenne et américaine hurlerait parce qu'on ne lui a pas encore déclaré la guerre.
La loi russe et les violences conjugales
Les mensonges de Poutine
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Lupino
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