Ma fille est partie faire ces études à l'âge de 17 ans à la grande ville de Besançon. Elle avait des stages nocturnes à faire. Nous n'étions pas tranquille d'autant qu'à ce moment là trainait un violeur en série. A 21 h, il a agressé une jeune étudiante. Ce n'était pas tard et en été il faisait encore jour. Il s'est acharné toute la nuit et l'a abandonné cassé de partout au sens littéral du terme, persuadé qu'elle était morte après ce qu'il lui a fait subir d'atrocités, de coups. C'est quelqu'un allant au travail tôt le matin qui a entendu ses faibles appels au secours. Elle est paraplégique.
Tout ça pour dire que ces gens là sont des prédateurs qui profitent de la moindre occasion et s'il l'avait croisé en plein jour, ça n'aurait rien changé. D'ailleurs à 19 h il fait encore jour.
Donc ne reprochons pas à cette jeune fille l'heure de circuler. On n'a pas le droit de la culpabiliser. C'est elle la victime. Et l'heure où le crime a eu lieu, importe peu
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